Visite commentée le dimanche 26 janvier 2014 à 14h avec la commissaire et des artistes en performance dans le cadre de l’exposition collective Et si les robots mangeaient des pommes ?,
La Salle Alfred-Pellan de la Maison des arts de Laval vous convie à assister à la dernière performance Penser le futur d’Anne-Marie Ouellet et à la prestation 360 degrés du danseur et chorégraphe George Stamos.
Une visite commentée par la commissaire Ariane De Blois sera également offerte aux visiteurs.
PENSER LE FUTUR
Anne-Marie Ouellet | Performance
Performeurs : Mylène Bergeron et Arnaud Doiron
Anne-Marie Ouellet a mené une enquête portant sur le futur à laquelle plus de 150 personnes ont répondu. Quelles sont vos certitudes ou vos souhaits face au futur ? Comment pensez-vous que l’espace public, l’espace domestique ou encore l’espace politique évolueront ?, sont parmi les questions qui figuraient au sein du son questionnaire. Ce sont les réponses mêmes du public, savamment colligées par l’artiste, et à travers lesquelles se faufile inévitablement la présence des robots, qui nous sont livrées par l’avatar, mais aussi par deux acteurs qui, lors de performances campées à même le décor de l’installation, ajoutent leur voix à ce dernier. Inéluctablement, entendre des projections sur la vie future, nous invite à nous questionner sur notre propre perception de l’avenir.
360 DEGRÉS
George Stamos | Danse
En collaboration avec Parcours Danse, l’événement-vitrine de la danse au Québec qui s’est tenu à la Maison des arts de Laval en décembre dernier, le chorégraphe et danseur George Stamos présente 360 degrés, une méditation en mouvement fondée sur la réflexion suivante. Notre nature profonde nous incite à croire que le corps et l’esprit sont des entités distinctes. Cette confusion nous amène à concevoir nos corps comme de simples outils au service de nos esprits. Piégés dans ce paradigme, nous en sommes venus à nous percevoir comme des instruments complexes, tels des robots. Incidemment, représenter les robots à notre image est devenu une obsession. Cette volonté serait-elle une projection de notre désir d’habiter et de valider nos propres corps? De réaliser que finalement, le corps est également un esprit?
Visite commentée le dimanche 26 janvier 2014 à 14h avec la commissaire et des artistes en performance dans le cadre de l’exposition collective Et si les robots mangeaient des pommes ?,
La Salle Alfred-Pellan de la Maison des arts de Laval vous convie à assister à la dernière performance Penser le futur d’Anne-Marie Ouellet et à la prestation 360 degrés du danseur et chorégraphe George Stamos.
Une visite commentée par la commissaire Ariane De Blois sera également offerte aux visiteurs.
PENSER LE FUTUR
Anne-Marie Ouellet | Performance
Performeurs : Mylène Bergeron et Arnaud Doiron
Anne-Marie Ouellet a mené une enquête portant sur le futur à laquelle plus de 150 personnes ont répondu. Quelles sont vos certitudes ou vos souhaits face au futur ? Comment pensez-vous que l’espace public, l’espace domestique ou encore l’espace politique évolueront ?, sont parmi les questions qui figuraient au sein du son questionnaire. Ce sont les réponses mêmes du public, savamment colligées par l’artiste, et à travers lesquelles se faufile inévitablement la présence des robots, qui nous sont livrées par l’avatar, mais aussi par deux acteurs qui, lors de performances campées à même le décor de l’installation, ajoutent leur voix à ce dernier. Inéluctablement, entendre des projections sur la vie future, nous invite à nous questionner sur notre propre perception de l’avenir.
360 DEGRÉS
George Stamos | Danse
En collaboration avec Parcours Danse, l’événement-vitrine de la danse au Québec qui s’est tenu à la Maison des arts de Laval en décembre dernier, le chorégraphe et danseur George Stamos présente 360 degrés, une méditation en mouvement fondée sur la réflexion suivante. Notre nature profonde nous incite à croire que le corps et l’esprit sont des entités distinctes. Cette confusion nous amène à concevoir nos corps comme de simples outils au service de nos esprits. Piégés dans ce paradigme, nous en sommes venus à nous percevoir comme des instruments complexes, tels des robots. Incidemment, représenter les robots à notre image est devenu une obsession. Cette volonté serait-elle une projection de notre désir d’habiter et de valider nos propres corps? De réaliser que finalement, le corps est également un esprit?