La Centrale est très fière d’accueillir les artistes montréalais.e.s Pavitra Wickramasinghe et Shahir Krishna pour leur exposition So the darkness shall be the light, and the stillness the dancing, co-présentée avec le South Asian Visual Arts Center (SAVAC), du 30 octobre au 27 novembre 2015.
À travers cette exposition, les deux artistes s’engagent dans un discours sur la migration et l’identité en explorant des notions de transformation. Par l’installation,la vidéo et la performance incarnée,cette exposition visite les différentes manières par lesquelles les artistes occupent un espace et un lieu. Tandis que Pavitra Wickramasinghe se focalise sur le ciel et la mer, Shahir Krishna examine son corps en relation avec la terre.
Le travail de Pavitra Wickramasinghe s’intéresse aux nouvelles manières de conceptualiser l’image en mouvement et les conventions du regard. Son corpus de travail actuel s’encre autour d’idées et de sentiments de lieu, de localité, explorant des notions de voyage, de mémoire et de ce que représente l’être en un lieu. Ces dernières années, elle cumule des images vidéos de bateaux immobiles; des sites de potentiels voyages rendus statiques. Usant du symbole d’un bateau chaviré, sur la terre ou gelé sur place, elle représente l’immmigration et le révèle tel un lieu préoccupant.
La performance de Shahir Krishna est une œuvre de mouvements sculpturaux à propos du changement et de la désintégration constante du «soi» alors que l’individu se plie à la nature. Krishna a été inspiré lors d’une retraite de 10 jours de médiation Vipassana dans la nature. En utilisant des matériaux trouvés en forêt où ille méditait pour créer une œuvre textile, combinés avec de la danse Butoh, la performance de Shahir Krishna est le reflet des relations entre le «soi» incarné et les facteurs extérieurs qui forment l’existence humaine par le mouvement et l’immobilisme.
La Centrale est très fière d’accueillir les artistes montréalais.e.s Pavitra Wickramasinghe et Shahir Krishna pour leur exposition So the darkness shall be the light, and the stillness the dancing, co-présentée avec le South Asian Visual Arts Center (SAVAC), du 30 octobre au 27 novembre 2015.
À travers cette exposition, les deux artistes s’engagent dans un discours sur la migration et l’identité en explorant des notions de transformation. Par l’installation,la vidéo et la performance incarnée,cette exposition visite les différentes manières par lesquelles les artistes occupent un espace et un lieu. Tandis que Pavitra Wickramasinghe se focalise sur le ciel et la mer, Shahir Krishna examine son corps en relation avec la terre.
Le travail de Pavitra Wickramasinghe s’intéresse aux nouvelles manières de conceptualiser l’image en mouvement et les conventions du regard. Son corpus de travail actuel s’encre autour d’idées et de sentiments de lieu, de localité, explorant des notions de voyage, de mémoire et de ce que représente l’être en un lieu. Ces dernières années, elle cumule des images vidéos de bateaux immobiles; des sites de potentiels voyages rendus statiques. Usant du symbole d’un bateau chaviré, sur la terre ou gelé sur place, elle représente l’immmigration et le révèle tel un lieu préoccupant.
La performance de Shahir Krishna est une œuvre de mouvements sculpturaux à propos du changement et de la désintégration constante du «soi» alors que l’individu se plie à la nature. Krishna a été inspiré lors d’une retraite de 10 jours de médiation Vipassana dans la nature. En utilisant des matériaux trouvés en forêt où ille méditait pour créer une œuvre textile, combinés avec de la danse Butoh, la performance de Shahir Krishna est le reflet des relations entre le «soi» incarné et les facteurs extérieurs qui forment l’existence humaine par le mouvement et l’immobilisme.
Montréal (Québec) H2W 1Z3