S’inspirant du palimpseste, manuscrit gratté et lavé après chaque utilisation pour servir de nouveau, Anna Binta Diallo a conçu les œuvres de cette série par juxtapositions, réinscriptions et par réinventions succesives des images. Elle s’inspire pour cela de différentes cultures, notamment celles de la diaspora africaine ou des communautés autochtones, s’approprie des images tirées d’Internet, de publicités, de livres d’histoires ou encore de photos personnelles pour enrichir les différentes couches de ses œuvres.
Grâce au collage, mais aussi à la projection, à la peinture, à l’impression, l’exposition palimpseste déploie un langage hautement symbolique et très personnel. Anna Binta Diallo s’amuse avec les perceptions, les contrastes et les associations et réagence librement les images et les informations, pour mieux créer une nouvelle cosmogonie.
Née à Dakar, au Sénégal, ayant grandi à Saint-Boniface, au Manitoba, Anna Binta Diallo se définit aujourd’hui comme une artiste « multidisciplinaire et multimédiatique ».
Son travail s’intéresse à la constructionsubjectivedes identités, à l’écriture de l’histoire et des histoires, à la perception des origines et des communautés. Elle révèle notre nature fondamentalement composite; elle souligne le travail de recomposition permanente de l’identité, de la mémoire, de l’altérité – un ouvrage sans cesse lavé, réécrit, réinventé…
Récemment, elle participe au festival Trans-ideology: Nostalgia à Tapei, Taïwan. En 2014 et 2013, Diallo réalise deux résidences à The Banff Centre. La même année, elle expose dans le cadre de sa maîtrise en beaux-arts à Transart Institute à Berlin, institution affiliée à la Plymouth University (Plymouth, R-U). Anna Binta Diallo vit et travaille à Montréal.
S’inspirant du palimpseste, manuscrit gratté et lavé après chaque utilisation pour servir de nouveau, Anna Binta Diallo a conçu les œuvres de cette série par juxtapositions, réinscriptions et par réinventions succesives des images. Elle s’inspire pour cela de différentes cultures, notamment celles de la diaspora africaine ou des communautés autochtones, s’approprie des images tirées d’Internet, de publicités, de livres d’histoires ou encore de photos personnelles pour enrichir les différentes couches de ses œuvres.
Grâce au collage, mais aussi à la projection, à la peinture, à l’impression, l’exposition palimpseste déploie un langage hautement symbolique et très personnel. Anna Binta Diallo s’amuse avec les perceptions, les contrastes et les associations et réagence librement les images et les informations, pour mieux créer une nouvelle cosmogonie.
Née à Dakar, au Sénégal, ayant grandi à Saint-Boniface, au Manitoba, Anna Binta Diallo se définit aujourd’hui comme une artiste « multidisciplinaire et multimédiatique ».
Son travail s’intéresse à la constructionsubjectivedes identités, à l’écriture de l’histoire et des histoires, à la perception des origines et des communautés. Elle révèle notre nature fondamentalement composite; elle souligne le travail de recomposition permanente de l’identité, de la mémoire, de l’altérité – un ouvrage sans cesse lavé, réécrit, réinventé…
Récemment, elle participe au festival Trans-ideology: Nostalgia à Tapei, Taïwan. En 2014 et 2013, Diallo réalise deux résidences à The Banff Centre. La même année, elle expose dans le cadre de sa maîtrise en beaux-arts à Transart Institute à Berlin, institution affiliée à la Plymouth University (Plymouth, R-U). Anna Binta Diallo vit et travaille à Montréal.