Artiste, écrivain, commissaire et musicien, Nelson Henricks est mieux connu pour ses vidéogrammes et ses installations vidéo, qui ont été présentés au Québec, au Canada et à travers le monde. Ses premières monobandes exploraient des questions d’identité en rapport avec la notion de la voix autobiographique. Ensuite, ses œuvres ont traité la façon dont la conscience est liée au temps et la perception. Après 1999, il a travaillé de plus en plus avec l’installation vidéo multicanal. La pratique artistique de Henricks inclut aussi la photographie, la peinture, le dessin et d’autres médias.
À la fois poétique et ironique, le travail de Henricks est toutefois dédié à l’expérimentation, mais avec un fort ancrage dans la culture populaire. Plusieurs de ses productions des années 2000 ont été concernées par des modalités de rendre le son visible. Des installations vidéo telles que Satellite (2004), Les Sirènes (2007), Les mots retranchés (2010) et 2287Hz (2011) ont abordé cette idée de diverses façons. Son intérêt de rendre le son visible est accompagné par une préoccupation du transfert de matériel : la traduction des phénomènes d’un matériau/médium à un autre. Depuis 2012, sa recherche se concentre principalement sur la synesthésie, un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés.
Ses œuvres sont dans la collection du Musée des beaux-arts du Canada, du Museum of Modern Art (New York), du Musée des beaux-arts de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec, la Galerie Leonard et Bina Ellen de l’Université Concordia, et la collection de la Banque Nationale.
Pour plus de renseignements, visitez : http://www.nelsonhenricks.com
Artiste, écrivain, commissaire et musicien, Nelson Henricks est mieux connu pour ses vidéogrammes et ses installations vidéo, qui ont été présentés au Québec, au Canada et à travers le monde. Ses premières monobandes exploraient des questions d’identité en rapport avec la notion de la voix autobiographique. Ensuite, ses œuvres ont traité la façon dont la conscience est liée au temps et la perception. Après 1999, il a travaillé de plus en plus avec l’installation vidéo multicanal. La pratique artistique de Henricks inclut aussi la photographie, la peinture, le dessin et d’autres médias.
À la fois poétique et ironique, le travail de Henricks est toutefois dédié à l’expérimentation, mais avec un fort ancrage dans la culture populaire. Plusieurs de ses productions des années 2000 ont été concernées par des modalités de rendre le son visible. Des installations vidéo telles que Satellite (2004), Les Sirènes (2007), Les mots retranchés (2010) et 2287Hz (2011) ont abordé cette idée de diverses façons. Son intérêt de rendre le son visible est accompagné par une préoccupation du transfert de matériel : la traduction des phénomènes d’un matériau/médium à un autre. Depuis 2012, sa recherche se concentre principalement sur la synesthésie, un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés.
Ses œuvres sont dans la collection du Musée des beaux-arts du Canada, du Museum of Modern Art (New York), du Musée des beaux-arts de Montréal, du Musée national des beaux-arts du Québec, la Galerie Leonard et Bina Ellen de l’Université Concordia, et la collection de la Banque Nationale.
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Alma, QC, G8B 5W1