LA CELLULE
Mathieu Latulippe nous présente La cellule, un corpus d’éléments concentriques, centralisé sur l’univers de la médecine et de la pratique des soins de santé. Il nous propose ici, en quelque sorte, un « voyage fantastique » à travers une infime partie de l’histoire, des mythologies, des espoirs et de certaines dérives, passées et à venir, liées à cet univers fascinant.
Mathieu Latulippe a présenté son travail au Canada et à l’étranger, notamment à La Manif d’art 4 (Québec, 2008), à Netwerk / centre d’art contemporain (Alost, Belgique, 2010), à la Triennale québécoise 2011 du Musée d’art contemporain de Montréal, à la Fonderie Darling (2011), chez Optica, au Musée des Laurentides (2014), au Centre Clark (2015) et au Salon Mondial (Bâle, 2015). Il a été artiste en résidence à Among Other Things (Turquie, 2010), à art3 (Valence, 2012) et dans le cadre de la résidence du CALQ (Bâle, 2015). Il est lauréat du prix Victor-Martyn-Lynch-Stanton 2015 pour les arts visuels.
CENT VINGT-CINQ HEURES
Depuis 2011, Amélie Laurence Fortin travaille sur des projets synthétisant l’accumulation d’expériences particulièrement intenses qu’elle entretient avec la nature. Inspirée par les pionniers de l’art cinétique ainsi que par la sculpture performative, cent vingt-cinq heures poursuivra sa réflexion sur l’espace et le sublime inspirée par le lent mais constant mouvement de la nature.
LA CELLULE
Mathieu Latulippe nous présente La cellule, un corpus d’éléments concentriques, centralisé sur l’univers de la médecine et de la pratique des soins de santé. Il nous propose ici, en quelque sorte, un « voyage fantastique » à travers une infime partie de l’histoire, des mythologies, des espoirs et de certaines dérives, passées et à venir, liées à cet univers fascinant.
Mathieu Latulippe a présenté son travail au Canada et à l’étranger, notamment à La Manif d’art 4 (Québec, 2008), à Netwerk / centre d’art contemporain (Alost, Belgique, 2010), à la Triennale québécoise 2011 du Musée d’art contemporain de Montréal, à la Fonderie Darling (2011), chez Optica, au Musée des Laurentides (2014), au Centre Clark (2015) et au Salon Mondial (Bâle, 2015). Il a été artiste en résidence à Among Other Things (Turquie, 2010), à art3 (Valence, 2012) et dans le cadre de la résidence du CALQ (Bâle, 2015). Il est lauréat du prix Victor-Martyn-Lynch-Stanton 2015 pour les arts visuels.
CENT VINGT-CINQ HEURES
Depuis 2011, Amélie Laurence Fortin travaille sur des projets synthétisant l’accumulation d’expériences particulièrement intenses qu’elle entretient avec la nature. Inspirée par les pionniers de l’art cinétique ainsi que par la sculpture performative, cent vingt-cinq heures poursuivra sa réflexion sur l’espace et le sublime inspirée par le lent mais constant mouvement de la nature.
Montréal (Québec) H3B 1A2