L’architecture – domestique, institutionnelle, urbaine, rurale, etc. – se trouve au cœur de mes réflexions sur le paysage. Je m’intéresse à la plasticité du paysage, à notre perception de cette dernière, à l’impact que peut avoir un environnement « architecturé » versus « sauvage » sur l’imaginaire, l’esprit ou la psyché humaine, à la rencontre ou aux frictions de ces différents espaces de vie et territoires limitrophes, et à la nature cyclique de l’espace qui nous entoure.
Dans mon travail, chaque sujet – d’abord photographié, puis retravaillé à travers différents médiums tels que la peinture, le dessin, la sculpture, l’installation et la gravure – découle d’un site existant rencontré au cours de mes nombreuses pérégrinations. Je m’intéresse aux lieux en transition, qui passent souvent inaperçus ou encore aux lieux mythiques ou iconiques, à leur histoire, leur impact physique et émotionnel, mais surtout à ce qu’ils représentent, aux valeurs qu’ils véhiculent et à la façon dont ils sont perçus.
Marie-Eve Martel est titulaire d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (2015) et d’un baccalauréat en arts visuels de l’Université Concordia (2006). Depuis 2006, elle a exposé régulièrement en solo et en groupe à travers le Québec et à quelques reprises ailleurs au Canada (Colombie Britanique, Alberta, Manitoba, Ontario). Elle a également participé à plusieurs résidences, dont celle du Klondike Institute of Art and Culture (à Dawson City, Yukon), ainsi que celle du Vermont Studio Center. Récipiendaire de plusieurs prix et bourses, entre autres du CALQ, CAC, CCL, CRÉ, FJL, l’artiste est particulièrement reconnaissante du support soutenu de la Fondation Elizabeth Greenshields dont elle a eu l’honneur d’être boursière à trois reprises.
http://www.marieevemartel.com/Info.html
L’architecture – domestique, institutionnelle, urbaine, rurale, etc. – se trouve au cœur de mes réflexions sur le paysage. Je m’intéresse à la plasticité du paysage, à notre perception de cette dernière, à l’impact que peut avoir un environnement « architecturé » versus « sauvage » sur l’imaginaire, l’esprit ou la psyché humaine, à la rencontre ou aux frictions de ces différents espaces de vie et territoires limitrophes, et à la nature cyclique de l’espace qui nous entoure.
Dans mon travail, chaque sujet – d’abord photographié, puis retravaillé à travers différents médiums tels que la peinture, le dessin, la sculpture, l’installation et la gravure – découle d’un site existant rencontré au cours de mes nombreuses pérégrinations. Je m’intéresse aux lieux en transition, qui passent souvent inaperçus ou encore aux lieux mythiques ou iconiques, à leur histoire, leur impact physique et émotionnel, mais surtout à ce qu’ils représentent, aux valeurs qu’ils véhiculent et à la façon dont ils sont perçus.
Marie-Eve Martel est titulaire d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (2015) et d’un baccalauréat en arts visuels de l’Université Concordia (2006). Depuis 2006, elle a exposé régulièrement en solo et en groupe à travers le Québec et à quelques reprises ailleurs au Canada (Colombie Britanique, Alberta, Manitoba, Ontario). Elle a également participé à plusieurs résidences, dont celle du Klondike Institute of Art and Culture (à Dawson City, Yukon), ainsi que celle du Vermont Studio Center. Récipiendaire de plusieurs prix et bourses, entre autres du CALQ, CAC, CCL, CRÉ, FJL, l’artiste est particulièrement reconnaissante du support soutenu de la Fondation Elizabeth Greenshields dont elle a eu l’honneur d’être boursière à trois reprises.
http://www.marieevemartel.com/Info.html
Alma, QC, G8B 5W1