La Galerie de l’UQAM vous invite à fêter l’arrivée de 2018 au vernissage de ses deux nouvelles expositions : Maria Hupfield. Celle qui continue de donner et Michelle Bui. Pool of Plenty. De plus, l’équipe de la revue Espace art actuel – pratiques et perspectives sera présente pour lancer son nouveau numéro sous la thématique Blessures.
MARIA HUPFIELD. CELLE QUI CONTINUE DE DONNER
Commissaire : Carolin Köchling
La Galerie de l’UQAM présente la très attendue exposition Maria Hupfield. Celle qui continue de donner, en tournée canadienne depuis sa présentation au Power Plant (Toronto) à l’hiver 2017. Sous le commissariat de Carolin Köchling, l’exposition comprend un ensemble d’objets et de vidéos découlant de la pratique performative de l’artiste issue de la nation Wasauksing de l’Ontario, maintenant établie à Brooklyn. Le travail de Maria Hupfield déploie des questions sensibles sur les objets et les souvenirs, gestes ou relations qu’ils évoquent.
Accompagnée d’Electric Djinn et d’Odaya, Maria Hupfield présentera une performance lors du vernissage de l’exposition. Cette soirée sera aussi l’occasion de lancer le catalogue de l’exposition, tout juste sorti de presse.
L’exposition est organisée et mise en circulation par The Power Plant Contemporary Art Gallery (Toronto).
MICHELLE BUI. POOL OF PLENTY
Finissante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques, UQAM
Dans son exposition intitulée Pool of Plenty, Michelle Bui propose une redécouverte d’objets, matériaux, aliments et végétaux qui nous entourent. Par un procédé de sélection, d’assemblage puis de capture photographique, l’artiste dévoile leur fragilité, leur malléabilité et leurs qualités esthétiques. En résulte une réflexion sur les intersections entre culture matérielle, publicité, désir et identité.
Michelle Bui s’intéresse à la relation ténue, parfois difficile mais toujours symbiotique entre culture et commerce. Désormais omniprésente dans notre expérience visuelle, cette relation s’incarne de manière prépondérante dans notre rapport à la culture matérielle. Les objets accumulés et consommés, tant par un individu que par une société, véhiculent énormément d’informations liées à notre identité. Selon Bui, la conscience identitaire, généralement structurée par le langage, peut également être articulée par ces éléments qui nous entourent. Les qualités esthétiques, expressives et symboliques ainsi que la matérialité des objets choisis permettent à l’artiste d’examiner l’intime.
+ plus d’informations sur les expositions : http://galerie.uqam.ca/fr/expositions/a-venir.html
La Galerie de l’UQAM vous invite à fêter l’arrivée de 2018 au vernissage de ses deux nouvelles expositions : Maria Hupfield. Celle qui continue de donner et Michelle Bui. Pool of Plenty. De plus, l’équipe de la revue Espace art actuel – pratiques et perspectives sera présente pour lancer son nouveau numéro sous la thématique Blessures.
MARIA HUPFIELD. CELLE QUI CONTINUE DE DONNER
Commissaire : Carolin Köchling
La Galerie de l’UQAM présente la très attendue exposition Maria Hupfield. Celle qui continue de donner, en tournée canadienne depuis sa présentation au Power Plant (Toronto) à l’hiver 2017. Sous le commissariat de Carolin Köchling, l’exposition comprend un ensemble d’objets et de vidéos découlant de la pratique performative de l’artiste issue de la nation Wasauksing de l’Ontario, maintenant établie à Brooklyn. Le travail de Maria Hupfield déploie des questions sensibles sur les objets et les souvenirs, gestes ou relations qu’ils évoquent.
Accompagnée d’Electric Djinn et d’Odaya, Maria Hupfield présentera une performance lors du vernissage de l’exposition. Cette soirée sera aussi l’occasion de lancer le catalogue de l’exposition, tout juste sorti de presse.
L’exposition est organisée et mise en circulation par The Power Plant Contemporary Art Gallery (Toronto).
MICHELLE BUI. POOL OF PLENTY
Finissante à la maîtrise en arts visuels et médiatiques, UQAM
Dans son exposition intitulée Pool of Plenty, Michelle Bui propose une redécouverte d’objets, matériaux, aliments et végétaux qui nous entourent. Par un procédé de sélection, d’assemblage puis de capture photographique, l’artiste dévoile leur fragilité, leur malléabilité et leurs qualités esthétiques. En résulte une réflexion sur les intersections entre culture matérielle, publicité, désir et identité.
Michelle Bui s’intéresse à la relation ténue, parfois difficile mais toujours symbiotique entre culture et commerce. Désormais omniprésente dans notre expérience visuelle, cette relation s’incarne de manière prépondérante dans notre rapport à la culture matérielle. Les objets accumulés et consommés, tant par un individu que par une société, véhiculent énormément d’informations liées à notre identité. Selon Bui, la conscience identitaire, généralement structurée par le langage, peut également être articulée par ces éléments qui nous entourent. Les qualités esthétiques, expressives et symboliques ainsi que la matérialité des objets choisis permettent à l’artiste d’examiner l’intime.
+ plus d’informations sur les expositions : http://galerie.uqam.ca/fr/expositions/a-venir.html