Le terme Marges coulantes provient du scientifique Peter Russell
pour décrire le passage de substances à travers les membranes poreuses
des cellules. L’artiste Ilona Staples de son côté utilise ce terme comme
métaphore pour représenter la perméabilité des frontières socio-
politiques et économiques du monde.
Son œuvre numérique Réseau métro global représente un réseau
imaginaire des 140 stations de métro et systèmes de transit rapide sous
terrain de la planète. Il est mis en relief par des points et des fines
lignes, tantôt rapprochées tantôt distantes, selon la concentration des
services sous terrains des régions en question. Il semblerait que
l’ampleur de ce développement sous nos pieds pourrait être
déstabilisant…
Staples trace le noms des 172 nations membres de l’ONU à l’aide de
milliers d’attaches rouges pliées, tordues et reliées dans une pièce de
130 pieds de longueur. L’œuvre, Liens d’attache, est suspendue au
mur telle un immense chapelet et, comme une prière collective, elle
rappelle l’importance qu’a cette grande union sur l’équilibre de la
terre.
Avec l’œuvre Dérive nationale l’artiste reconfigure la géographie
de la terre, déplace des territoires, des lacs et des ressources
naturelles, les enveloppe et les redistribue afin d’accommoder des
besoins spécifiques. Est-ce que les Grands Lacs pourraient servir
ailleurs?
Boîte-bio une boîte libellée est assise près de la porte d’entrée de la galerie. Est-ce qu’elle arrive ou est-ce qu’elle attend d’être ramassée? En
s’approchant on perçoit des lettres peintes à la main qui communiquent
des renseignements autobiographiques de la famille de l’artiste tel leur
numéro de dossier d’immigration fédéral.
Ilona Staples vit et œuvre à Toronto. Elle a fait ses études à
l’Université Concordia de Montréal et au Ontario College of Art and
Design. Ses œuvres ont été présentées au Canada, aux Etats-Unis et en
Europe. Le projet Réseau métro global a été subventionné par un don du Conseil des arts de Toronto.
Le terme Marges coulantes provient du scientifique Peter Russell pour décrire le passage de substances à travers les membranes poreuses des cellules. L’artiste Ilona Staples de son côté utilise ce terme comme métaphore pour représenter la perméabilité des frontières socio- politiques et économiques du monde.
Son œuvre numérique Réseau métro global représente un réseau imaginaire des 140 stations de métro et systèmes de transit rapide sous terrain de la planète. Il est mis en relief par des points et des fines lignes, tantôt rapprochées tantôt distantes, selon la concentration des services sous terrains des régions en question. Il semblerait que l’ampleur de ce développement sous nos pieds pourrait être déstabilisant…
Staples trace le noms des 172 nations membres de l’ONU à l’aide de milliers d’attaches rouges pliées, tordues et reliées dans une pièce de 130 pieds de longueur. L’œuvre, Liens d’attache, est suspendue au mur telle un immense chapelet et, comme une prière collective, elle rappelle l’importance qu’a cette grande union sur l’équilibre de la terre.
Avec l’œuvre Dérive nationale l’artiste reconfigure la géographie de la terre, déplace des territoires, des lacs et des ressources naturelles, les enveloppe et les redistribue afin d’accommoder des besoins spécifiques. Est-ce que les Grands Lacs pourraient servir ailleurs?
Boîte-bio une boîte libellée est assise près de la porte d’entrée de la galerie. Est-ce qu’elle arrive ou est-ce qu’elle attend d’être ramassée? En s’approchant on perçoit des lettres peintes à la main qui communiquent des renseignements autobiographiques de la famille de l’artiste tel leur numéro de dossier d’immigration fédéral.
Ilona Staples vit et œuvre à Toronto. Elle a fait ses études à l’Université Concordia de Montréal et au Ontario College of Art and Design. Ses œuvres ont été présentées au Canada, aux Etats-Unis et en Europe. Le projet Réseau métro global a été subventionné par un don du Conseil des arts de Toronto.