Après une vie de trois espaces, Le Lobe s’apprête à muer encore une fois. Le Lobe est fier d’offrir à Louis Fortier l’occasion de clore cette étape de la vie du Lobe. C’est là une occasion de pouvoir déconstruire, marquer, barbouiller, salir, scarifier, tapisser, dépiauter, envahir, démolir, dépolir ou entièrement métamorphoser l’espace actuel. La carte blanche que nous offrons habituellement est, cette fois, d’un blanc javellisé, à tacher sans aucune modération.
Le Lobe vivra des moments intenses de changements, d’euphorie, d’enthousiasme et/ou de stress pendant les prochaines semaines. Il sera relocalisé à l’intérieur des Ateliers d’artistes TOUTTOUT, réadaptant du coup son espace de galerie. Plus vaste, doté de bureaux connexes ainsi que d’une entrée indépendante, il subira une transformation impressionnante. À suivre, dans les prochaines semaines…
Une exposition suivra ultérieurement, après le déménagement. Les dates restent à confirmer.
Pensées furtives griffonnées sur les murs, traces résiduelles laissées par les objets, moules abandonnés ici et là : une sorte de fascination pour les traces qui s’accumulent dans l’atelier est à l’origine de ce projet de résidence. Contrairement au lieu d’exposition, l’atelierxest un espace habité, vivant, transitoire, et, de surcroît, un espace lié à l’émergence perpétuelle.
Au lieu de concevoir des œuvres en fonction d’un résultat final, cette résidence permettra à Louis Fortier de mettre l’accent sur la démarche plutôt que le résultat. Bref, le temps passé en résidence déterminera la nature du projet.
Dans l’esprit du journal, Louis Fortier désire utiliser la galerie du Lobe comme un espace où s’accumuleront au fil des jours les traces d’expériences diverses liées à des programmes d’activités quotidiennes de création régies selon un horaire souple mais fixe. Cette attitude face à la création entraînera inévitablement la nécessité de documenter la progression des matières en transformation par la photographie (et possiblement la vidéo). Ces matières seront de nature sculpturale, graphique, textuelle et photographique. Toujours, l’accent sera porté sur le faire plutôt que sur l’objet fini.
Chercher à attraper, avant qu’ils ne se volatilisent, quelques moments de grâce.
Vivant et travaillant à Mil des arts du Canada, il est représenté par la galerie Donald Browne. Récemment, il participait à l’événement « C’est arrivé près de chez vous », sous le commissariat de Nathalie de Blois, au Musée national des beaux-arts du Québec.ontréal, Louis Fortier a exposé son travail dans de nombreuses expositions individuelles et collectives au Québec, ainsi que dans diverses provinces canadiennes. Plusieurs fois boursier du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conse
Après une vie de trois espaces, Le Lobe s’apprête à muer encore une fois. Le Lobe est fier d’offrir à Louis Fortier l’occasion de clore cette étape de la vie du Lobe. C’est là une occasion de pouvoir déconstruire, marquer, barbouiller, salir, scarifier, tapisser, dépiauter, envahir, démolir, dépolir ou entièrement métamorphoser l’espace actuel. La carte blanche que nous offrons habituellement est, cette fois, d’un blanc javellisé, à tacher sans aucune modération.
Le Lobe vivra des moments intenses de changements, d’euphorie, d’enthousiasme et/ou de stress pendant les prochaines semaines. Il sera relocalisé à l’intérieur des Ateliers d’artistes TOUTTOUT, réadaptant du coup son espace de galerie. Plus vaste, doté de bureaux connexes ainsi que d’une entrée indépendante, il subira une transformation impressionnante. À suivre, dans les prochaines semaines…
Une exposition suivra ultérieurement, après le déménagement. Les dates restent à confirmer.
Pensées furtives griffonnées sur les murs, traces résiduelles laissées par les objets, moules abandonnés ici et là : une sorte de fascination pour les traces qui s’accumulent dans l’atelier est à l’origine de ce projet de résidence. Contrairement au lieu d’exposition, l’atelierxest un espace habité, vivant, transitoire, et, de surcroît, un espace lié à l’émergence perpétuelle.
Au lieu de concevoir des œuvres en fonction d’un résultat final, cette résidence permettra à Louis Fortier de mettre l’accent sur la démarche plutôt que le résultat. Bref, le temps passé en résidence déterminera la nature du projet.
Dans l’esprit du journal, Louis Fortier désire utiliser la galerie du Lobe comme un espace où s’accumuleront au fil des jours les traces d’expériences diverses liées à des programmes d’activités quotidiennes de création régies selon un horaire souple mais fixe. Cette attitude face à la création entraînera inévitablement la nécessité de documenter la progression des matières en transformation par la photographie (et possiblement la vidéo). Ces matières seront de nature sculpturale, graphique, textuelle et photographique. Toujours, l’accent sera porté sur le faire plutôt que sur l’objet fini.
Chercher à attraper, avant qu’ils ne se volatilisent, quelques moments de grâce.
Vivant et travaillant à Mil des arts du Canada, il est représenté par la galerie Donald Browne. Récemment, il participait à l’événement « C’est arrivé près de chez vous », sous le commissariat de Nathalie de Blois, au Musée national des beaux-arts du Québec.ontréal, Louis Fortier a exposé son travail dans de nombreuses expositions individuelles et collectives au Québec, ainsi que dans diverses provinces canadiennes. Plusieurs fois boursier du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conse
Chicoutimi (Québec) G7J 1L4