cahier Folie/Culture no. 10
|
Éditeur :
|
Folie/Culture |
| Auteur(s) : |
Marie-Sissi Labrèche, Anick Arsenault, Mireille Bourque, Pascal Brateau, Annie Brunette, Noémie Charles, André Marceau, Kiki Ta-Minh, Paolo Universo |
| Artiste(s) : |
Émilie Roi, Fanny Baxter, Pascal Brateau, Caroline Gagné, Nadège Grebmeier Forget, Mathieu Lacroix, Christell Mas, Catherine Plaisance, Jérémi Savoie, Katja Vartiainen |
| 20 casse-têtes couleur, 2009 |
| ISSN : 1180-3851 |
Des artistes de la plume ou de l’image ont eu le défi de discourir sur le thème Les effets secondaires de… Ce thème aborde la problématique de certaines dépendances et des effets qui en résultent. Que l’on parle de drogues fortes (prescrites ou proscrites) ou de drogues douces (téléréalité, Internet, etc.), de notre aliénation collective, une réflexion s’imposait. S’interroger sur les effets secondaires de ces « cures » aux mille promesses, c’est basculer dans l’inconnu et le non-quantifiable.
Face à cette réflexion initiale sur les effets secondaires de… le casse-tête apparaît comme un objet métaphorique des postures qui entourent les symptômes et leurs conséquences. Ce jeu aux tendances obsessionnelles, dont la finalité est de résoudre un problème difficile en raison de la multiplicité de ses éléments et de leur disparité, semble matérialiser l’idée du construit/déconstruit. L’image originale est fragmentée pour ensuite être reconstruite. D’un point de vue individuel, nos attitudes face à ces dépendances révèlent des déconstructions de l’être. En ce sens le casse-tête représente l’idée de ce cheminement vers la compréhension ou la guérison. Évidemment, il n’est pas la réponse à la question mais plutôt la matérialisation de la construction de la pensée.
Pour commander…
cahier Folie/Culture no. 10
Éditeur :
Des artistes de la plume ou de l’image ont eu le défi de discourir sur le thème Les effets secondaires de… Ce thème aborde la problématique de certaines dépendances et des effets qui en résultent. Que l’on parle de drogues fortes (prescrites ou proscrites) ou de drogues douces (téléréalité, Internet, etc.), de notre aliénation collective, une réflexion s’imposait. S’interroger sur les effets secondaires de ces « cures » aux mille promesses, c’est basculer dans l’inconnu et le non-quantifiable.
Face à cette réflexion initiale sur les effets secondaires de… le casse-tête apparaît comme un objet métaphorique des postures qui entourent les symptômes et leurs conséquences. Ce jeu aux tendances obsessionnelles, dont la finalité est de résoudre un problème difficile en raison de la multiplicité de ses éléments et de leur disparité, semble matérialiser l’idée du construit/déconstruit. L’image originale est fragmentée pour ensuite être reconstruite. D’un point de vue individuel, nos attitudes face à ces dépendances révèlent des déconstructions de l’être. En ce sens le casse-tête représente l’idée de ce cheminement vers la compréhension ou la guérison. Évidemment, il n’est pas la réponse à la question mais plutôt la matérialisation de la construction de la pensée.
Pour commander…
Québec, QC
G1K 2Y2