Lorella Abenavoli (France)
Résidence in situ du 18 mars au 24 avril 2005
Rencontre avec l’artiste le vendredi 1 avril à 20 h.
Le public est convié à venir rencontrer Lorella Abenavoli durant sa résidence in situ à LA CHAMBRE BLANCHE, du 18 mars au 24 avril 2005. Le Souffle de la Terre se veut une série d’études sur le son dont la forme se déploie dans le temps et dans l’espace. L’étude précédente, réalisée à Paris grâce à l’Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique (Ircam), a permis à l’artiste française de développer le traitement de la diffusion et de la spatialisation des sons terrestres en temps réel.
À Québec, Lorella Abenavoli réalise la quatrième étape de cette uvre sensible qui se développe à long terme, en forme détudes autonomes. Un micro-contact enregistre les vibrations du sol engendrées par les mouvements subtils du visiteur. Ici, le corps humain rencontre lénergie du corps-terre à travers une interface familière : le sol, la peau de la Terre. Les captations retransmises en temps réel se transportent dans lespace, puis se fondent aux sons des profondeurs de la Terre. Bien quélaborée à laide de nouvelles technologies, cette installation épurée transcende la technique et interpelle directement les émotions, transmuant notre rapport à lUnivers en une expérience poétique.
Lorella Abenavoli (France)
Résidence in situ du 18 mars au 24 avril 2005
Rencontre avec l’artiste le vendredi 1 avril à 20 h.
Le public est convié à venir rencontrer Lorella Abenavoli durant sa résidence in situ à LA CHAMBRE BLANCHE, du 18 mars au 24 avril 2005. Le Souffle de la Terre se veut une série d’études sur le son dont la forme se déploie dans le temps et dans l’espace. L’étude précédente, réalisée à Paris grâce à l’Institut de Recherche et Coordination Acoustique/Musique (Ircam), a permis à l’artiste française de développer le traitement de la diffusion et de la spatialisation des sons terrestres en temps réel.
À Québec, Lorella Abenavoli réalise la quatrième étape de cette uvre sensible qui se développe à long terme, en forme détudes autonomes. Un micro-contact enregistre les vibrations du sol engendrées par les mouvements subtils du visiteur. Ici, le corps humain rencontre lénergie du corps-terre à travers une interface familière : le sol, la peau de la Terre. Les captations retransmises en temps réel se transportent dans lespace, puis se fondent aux sons des profondeurs de la Terre. Bien quélaborée à laide de nouvelles technologies, cette installation épurée transcende la technique et interpelle directement les émotions, transmuant notre rapport à lUnivers en une expérience poétique.
Québec (Québec) G1K 3S6