Tout comme l’a exprimé André Malraux à l’aide de son « musée imaginaire », l’idée admettant qu’une oeuvre d’art poursuit sa propre narration et entre en relation avec les autres oeuvres est plutôt intrigante. Les époques et classifications y sont donc dispersées et réarrangées dans un tout nouvel ordre d’idées. Conceptualisant la notion du « musée sans murs », comme des images regroupées dans la conscience plutôt que dans un lieu physique, David Moore surnomme son atelier/grange Le musée imaginaire du moulin. Ce titre transitoire fait état des nombreux moulins parsemant le paysage de la Montérégie, là où vit l’artiste. Il est aussi une métaphore de l’accumulation de sculptures dans son lieu de production, lieu vraiment magique qui laisse inévitablement une trace dans l’esprit.
La Galerie d’art Stewart Hall est ravie de présenter David Moore : Le musée imaginaire du moulin, une collection de sculptures qui a transposé la galerie en un musée visuel de l’imagination. En vous promenant parmi les formes poignantes de Moore, qui sont influencées par ses voyages annuels en Grèce ainsi que par les images iconiques et la mythologie ancienne qui y résident, vous vous sentirez habité par l’enchantement et le mystère. L’histoire est fragmentée par des objets qui reflètent l’héritage des civilisations. Une sirène faisant l’aumône, des cariatides en bois et en aluminium, des images de sarcophages ouverts, de grands personnages de bois ainsi que de tout petits bateaux sont les moyens qu’utilise David Moore pour offrir un cadre symbolique engendrant des mythologies futures. Au milieu de ces formes archéologiques contemporaines et de ces déroutantes images transformées se déploie un musée véritablement imaginaire, inspiré du passé, du présent et de l’avenir.
Né à Dublin en Irlande, David Moore a obtenu son baccalauréat de l’Université de Dublin avant d’immigrer au Canada en 1964. Une fois à Montréal, il a étudié à l’École des beaux-arts de Montréal et à l’Université du Québec à Montréal (UQÀM), puis a fait sa maîtrise en éducation des arts à l’Université Concordia (1978). Au long de sa carrière qui s’étend sur plus de quarante ans, il a enseigné à l’Université Concordia en plus d’avoir participé à des expositions à travers l’Europe et l’Amérique du Nord. En 1994, Moore a réalisé une importante sculpture publique pour le parc René Lévesque, à Lachine. Sa sculpture monumentale intitulée aLomph aBram (1988-1990) est logée dans la tour du Musée national des beaux-arts du Québec. Membre de l’Académie royale des arts du Canada (1995), les oeuvres de David Moore font partie de nombreuses collections publiques et privées, et se trouvent, entre autres, au Musée d’art contemporain de Montréal.
Apportez votre lunch et joignez-vous à nous pour notre événement annuel
Le PIQUE-NIQUE VERNISSAGE : Dimanche 8 juillet, de midi à 16 h
Grignotines et rafraîchissements vous seront offerts
À ne pas manquer, la performance musicale par Tôôt Lahorn, alias Jean-Mi Labrosse,
jouant de la clarinette et de l’ocarina sur la terrasse
Tout comme l’a exprimé André Malraux à l’aide de son « musée imaginaire », l’idée admettant qu’une oeuvre d’art poursuit sa propre narration et entre en relation avec les autres oeuvres est plutôt intrigante. Les époques et classifications y sont donc dispersées et réarrangées dans un tout nouvel ordre d’idées. Conceptualisant la notion du « musée sans murs », comme des images regroupées dans la conscience plutôt que dans un lieu physique, David Moore surnomme son atelier/grange Le musée imaginaire du moulin. Ce titre transitoire fait état des nombreux moulins parsemant le paysage de la Montérégie, là où vit l’artiste. Il est aussi une métaphore de l’accumulation de sculptures dans son lieu de production, lieu vraiment magique qui laisse inévitablement une trace dans l’esprit.
La Galerie d’art Stewart Hall est ravie de présenter David Moore : Le musée imaginaire du moulin, une collection de sculptures qui a transposé la galerie en un musée visuel de l’imagination. En vous promenant parmi les formes poignantes de Moore, qui sont influencées par ses voyages annuels en Grèce ainsi que par les images iconiques et la mythologie ancienne qui y résident, vous vous sentirez habité par l’enchantement et le mystère. L’histoire est fragmentée par des objets qui reflètent l’héritage des civilisations. Une sirène faisant l’aumône, des cariatides en bois et en aluminium, des images de sarcophages ouverts, de grands personnages de bois ainsi que de tout petits bateaux sont les moyens qu’utilise David Moore pour offrir un cadre symbolique engendrant des mythologies futures. Au milieu de ces formes archéologiques contemporaines et de ces déroutantes images transformées se déploie un musée véritablement imaginaire, inspiré du passé, du présent et de l’avenir.
Né à Dublin en Irlande, David Moore a obtenu son baccalauréat de l’Université de Dublin avant d’immigrer au Canada en 1964. Une fois à Montréal, il a étudié à l’École des beaux-arts de Montréal et à l’Université du Québec à Montréal (UQÀM), puis a fait sa maîtrise en éducation des arts à l’Université Concordia (1978). Au long de sa carrière qui s’étend sur plus de quarante ans, il a enseigné à l’Université Concordia en plus d’avoir participé à des expositions à travers l’Europe et l’Amérique du Nord. En 1994, Moore a réalisé une importante sculpture publique pour le parc René Lévesque, à Lachine. Sa sculpture monumentale intitulée aLomph aBram (1988-1990) est logée dans la tour du Musée national des beaux-arts du Québec. Membre de l’Académie royale des arts du Canada (1995), les oeuvres de David Moore font partie de nombreuses collections publiques et privées, et se trouvent, entre autres, au Musée d’art contemporain de Montréal.
Apportez votre lunch et joignez-vous à nous pour notre événement annuel
Le PIQUE-NIQUE VERNISSAGE : Dimanche 8 juillet, de midi à 16 h
Grignotines et rafraîchissements vous seront offerts
À ne pas manquer, la performance musicale par Tôôt Lahorn, alias Jean-Mi Labrosse,
jouant de la clarinette et de l’ocarina sur la terrasse