Le Lieu, centre en art actuel vous invite au lancement de la publication Le Merle (volume 1, numéro 1), le vendredi 20 avril, à partir de 17 h, au 345 rue du Pont.
Le Merle est un cahier semi-annuel basé à Montréal qui assemble des textes d’artistes et d’auteurs intéressés par le politique. Ce premier numéro rassemblera des textes de Charles Gute, Marilou Lemmens, Simon Brown, Abbey Shaine Dubin, Érik Bordeleau, du groupe anarcho-dadaïste Black Mask, de Heather Davies sur l’oeuvre d’Emma Goldman, d’Ighby & Lemmens sur leur exposition The Space of Observation ainsi qu’une entrevue avec le philosophe français Bernard Aspe.
Par la même occasion, Érik Bordeleau lancera son livre Foucault Anonymat.
«Il y a un rapport fondamental dans l’oeuvre de Foucault entre résistance politique et expérience de l’anonymat. Ce rapport est demeuré peu exploré, en particulier dans lecontexte de sa réception nord-américaine. Difficile d’en expliquer le pourquoi. On peut certainement supposer que la célébration de la « différence » et le triomphe de la politique de l’identité ont fortement contribué à l’occultation de cette dimension fondamentale de son oeuvre.» — Érik Bordeleau.
De plus, il sera possible de découvrir l’exposition de François Lemieux, Faire de chaque extrême impuissance un temps de déprise.
Le Lieu, centre en art actuel vous invite au lancement de la publication Le Merle (volume 1, numéro 1), le vendredi 20 avril, à partir de 17 h, au 345 rue du Pont.
Le Merle est un cahier semi-annuel basé à Montréal qui assemble des textes d’artistes et d’auteurs intéressés par le politique. Ce premier numéro rassemblera des textes de Charles Gute, Marilou Lemmens, Simon Brown, Abbey Shaine Dubin, Érik Bordeleau, du groupe anarcho-dadaïste Black Mask, de Heather Davies sur l’oeuvre d’Emma Goldman, d’Ighby & Lemmens sur leur exposition The Space of Observation ainsi qu’une entrevue avec le philosophe français Bernard Aspe.
Par la même occasion, Érik Bordeleau lancera son livre Foucault Anonymat.
«Il y a un rapport fondamental dans l’oeuvre de Foucault entre résistance politique et expérience de l’anonymat. Ce rapport est demeuré peu exploré, en particulier dans lecontexte de sa réception nord-américaine. Difficile d’en expliquer le pourquoi. On peut certainement supposer que la célébration de la « différence » et le triomphe de la politique de l’identité ont fortement contribué à l’occultation de cette dimension fondamentale de son oeuvre.» — Érik Bordeleau.
De plus, il sera possible de découvrir l’exposition de François Lemieux, Faire de chaque extrême impuissance un temps de déprise.