« Le Conseil des arts est très encouragé par le message positif transmis par le budget 2012 et le soutien du gouvernement qui reconnaît le rôle de leadership du Conseil », a déclaré Joseph L. Rotman, président du Conseil des arts du Canada. « Ce vote de confiance envers le Conseil est un signal clair de soutien aux arts, c˛ur créatif de la nation. Ce gouvernement et le ministre du Patrimoine canadien, l’honorable James Moore, apprécient clairement la contribution positive de ce secteur à l’économie et à l’identité de ce pays. Cela confirme qu’il nous faut continuer à appliquer les normes les plus élevées possible dans notre utilisation des fonds publics. »
Au fil de ses 55 années d’existence, le Conseil et ses programmes ont continuellement évolué, et ce, au même rythme que les changements qui survenaient dans la pratique artistique et les réalités démographiques du pays. Ses démarches fermement axées sur la démonstration de ses résultats ont été soulignées à de nombreuses reprises, plus récemment dans le cadre de l’examen spécial du vérificateur général du Canada (2008), de l’examen stratégiques (2010), ainsi que dans son dernier Plan stratégique, Resserrer les liens, 2011-2016 En 2011, le Conseil a établi un processus visant à évaluer les options actuelles et futures en matière de programme par rapport à son objectif le plus élevé, à savoir la viabilité d’un secteur artistique vigoureux et diversifié qui enrichit la vie des Canadiennes et des Canadiens.
Selon Robert Sirman, directeur et chef de la direction : « La décision du gouvernement de maintenir le financement du Conseil nous donne l’occasion de prendre, de notre propre chef, des mesures qui génèreront des économies que nous pourrons réinvestir dans le secteur artistique professionnel. Cela nous permettra aussi de nous assurer que nos programmes demeurent pertinents, rentables et adaptés aux besoins en constante évolution de la communauté. Au cours des trois prochaines années, nous mettrons en ˛uvre un certain nombre de changements déjà en cours d’élaboration, notamment la réduction des coûts de nos locaux, la simplification de nos processus opérationnels et le rajustement de nos programmes. »
Pendant les prochains mois, le Conseil examinera les options qui s’offrent à lui quant à son engagement traditionnel envers le c˛ur de la pratique artistique créatrice, tout en tenant compte des aspects qui deviennent de plus en plus prioritaires, notamment l’équité, l’engagement du public envers les arts et l’accès aux marchés national et international.
Le Conseil des arts est une société d’État autonome qui renforce la pratique artistique canadienne et met le public en contact avec les arts aux coûts d’environ 5,25 $ par habitant. Grâce à ses subventions, prix, bourses et paiements, le Conseil appuie plus de 20 000 artistes et organismes artistiques tous les ans. Le Conseil des arts abrite en outre la Banque d’˛uvres d’art et ses quelque 17 000 d’˛uvres d’art contemporain ainsi que la Commission canadienne pour l’UNESCO. Dirigé par un conseil d’administration de 11 membres, le Conseil rend compte de ses activités au Parlement par l’entremise du ministre du Patrimoine canadien et ses comptes sont audités tous les ans par le vérificateur général du Canada.
« Le Conseil des arts est très encouragé par le message positif transmis par le budget 2012 et le soutien du gouvernement qui reconnaît le rôle de leadership du Conseil », a déclaré Joseph L. Rotman, président du Conseil des arts du Canada. « Ce vote de confiance envers le Conseil est un signal clair de soutien aux arts, c˛ur créatif de la nation. Ce gouvernement et le ministre du Patrimoine canadien, l’honorable James Moore, apprécient clairement la contribution positive de ce secteur à l’économie et à l’identité de ce pays. Cela confirme qu’il nous faut continuer à appliquer les normes les plus élevées possible dans notre utilisation des fonds publics. »
Au fil de ses 55 années d’existence, le Conseil et ses programmes ont continuellement évolué, et ce, au même rythme que les changements qui survenaient dans la pratique artistique et les réalités démographiques du pays. Ses démarches fermement axées sur la démonstration de ses résultats ont été soulignées à de nombreuses reprises, plus récemment dans le cadre de l’examen spécial du vérificateur général du Canada (2008), de l’examen stratégiques (2010), ainsi que dans son dernier Plan stratégique, Resserrer les liens, 2011-2016 En 2011, le Conseil a établi un processus visant à évaluer les options actuelles et futures en matière de programme par rapport à son objectif le plus élevé, à savoir la viabilité d’un secteur artistique vigoureux et diversifié qui enrichit la vie des Canadiennes et des Canadiens.
Selon Robert Sirman, directeur et chef de la direction : « La décision du gouvernement de maintenir le financement du Conseil nous donne l’occasion de prendre, de notre propre chef, des mesures qui génèreront des économies que nous pourrons réinvestir dans le secteur artistique professionnel. Cela nous permettra aussi de nous assurer que nos programmes demeurent pertinents, rentables et adaptés aux besoins en constante évolution de la communauté. Au cours des trois prochaines années, nous mettrons en ˛uvre un certain nombre de changements déjà en cours d’élaboration, notamment la réduction des coûts de nos locaux, la simplification de nos processus opérationnels et le rajustement de nos programmes. »
Pendant les prochains mois, le Conseil examinera les options qui s’offrent à lui quant à son engagement traditionnel envers le c˛ur de la pratique artistique créatrice, tout en tenant compte des aspects qui deviennent de plus en plus prioritaires, notamment l’équité, l’engagement du public envers les arts et l’accès aux marchés national et international.
Le Conseil des arts est une société d’État autonome qui renforce la pratique artistique canadienne et met le public en contact avec les arts aux coûts d’environ 5,25 $ par habitant. Grâce à ses subventions, prix, bourses et paiements, le Conseil appuie plus de 20 000 artistes et organismes artistiques tous les ans. Le Conseil des arts abrite en outre la Banque d’˛uvres d’art et ses quelque 17 000 d’˛uvres d’art contemporain ainsi que la Commission canadienne pour l’UNESCO. Dirigé par un conseil d’administration de 11 membres, le Conseil rend compte de ses activités au Parlement par l’entremise du ministre du Patrimoine canadien et ses comptes sont audités tous les ans par le vérificateur général du Canada.