Le Musée d’art de Joliette (MAJ) présente, du 26 février au 4 septembre 2016, Le catalogue des futurs de Stéphane Gilot, une exposition qui se décline en deux volets : le premier, marqué par un cycle de performances artistiques et musicales, et le deuxième, par un redéploiement des œuvres de la collection du MAJ au sein d’un pavillon construit dans l’exposition ainsi que par l’intervention d’une artiste en résidence. Reconnu pour son travail multidisciplinaire, Gilot combine dessins, maquette, vidéos et installations immersives pour faire vivre au visiteur l’histoire du musée en proposant une exposition majeure ponctuée de performances et d’interventions qui viendront enrichir et transformer son contenu.
Conçue dans le contexte d’une résidence de recherche (de 2012 à 2015) alors que le MAJ fermait ses portes pour un projet de rénovation majeur, l’exposition Le catalogue des futurs de l’artiste montréalais d’origine belge, Stéphane Gilot, propose une réflexion sur ce qu’est un musée. En ce sens, le musée devient non seulement le sujet de l’exposition, mais de manière plus radicale encore, l’artiste le reconstruit par l’intermédiaire d’installations architecturales inédites à travers lesquelles le visiteur est invité à circuler.
Ce projet s’inscrit dans une logique autoréflexive qui rejoue, réfléchit, redécouvre, mais invente également l’histoire du MAJ, que ce soit en le projetant dans le futur à l’aide d’une maquette, en construisant à l’échelle 1 : 0,5 l’auditorium qui occupait le sous-sol, en 1976, et qui fût transformé, depuis, en réserve ou encore, en redéfinissant l’usage de ses collections en créant une exposition dans un pavillon construit pour l’exposition temporaire, motif récurrent dans le travail de l’artiste.
Conçue dans le contexte d’une résidence de recherche (de 2012 à 2015) alors que le MAJ fermait ses portes pour un projet de rénovation majeur, l’exposition Le catalogue des futurs de l’artiste montréalais d’origine belge, Stéphane Gilot, propose une réflexion sur ce qu’est un musée. En ce sens, le musée devient non seulement le sujet de l’exposition, mais de manière plus radicale encore, l’artiste le reconstruit par l’intermédiaire d’installations architecturales inédites à travers lesquelles le visiteur est invité à circuler.
Ce projet s’inscrit dans une logique autoréflexive qui rejoue, réfléchit, redécouvre, mais invente également l’histoire du MAJ, que ce soit en le projetant dans le futur à l’aide d’une maquette, en construisant à l’échelle 1 : 0,5 l’auditorium qui occupait le sous-sol, en 1976, et qui fût transformé, depuis, en réserve ou encore, en redéfinissant l’usage de ses collections en créant une exposition dans un pavillon construit pour l’exposition temporaire, motif récurrent dans le travail de l’artiste.
Volet I : 26 février au 29 mai 2016 Volet II : 5 juin au 4 septembre 2016