Engramme présente Le cœur net, une exposition individuelle composée de dix-huit impressions numériques de l’artiste Valérie Boivin.
Le cœur net, exposition au titre caustique, s’élabore sur l’ambiguïté des rapports humains puisque rien n’y est jamais clair ni établi. Tout se transforme à tout instant : perdre un ami peut se faire en quelques mots, tomber amoureux se joue sur si peu. Nous marchons, mangeons, rions avec cette épée de Damoclès perchée au-dessus de nos têtes. Dans le travail de Valérie Boivin, l’épée brille comme une étoile.
Le corpus d’oeuvres présenté ici explore les profonds sentiments que sont la solitude, le réconfort et le jeu, enchaînant ces trois états les uns aux autres à la manière d’une roue perpétuelle.
Combinant le malaise, la joie, l’exhibitionnisme et un certain désordre intérieur, les oeuvres font aussi allusion à l’imaginaire circassien, présentant l’humain, à l’instar de l’animal, comme une bête prisonnière d’elle-même qui se dévoile dans une parade pleine de déception.
Valérie Boivin vit et travaille à Québec. Après avoir complété un baccalauréat en design graphique à l’Université Laval, elle décide de consacrer sa pratique à l’estampe numérique. Son travail a été publié dans de nombreux magazines (Applied arts, Grafika, le magazine finlandais HESA-inprint). Ses estampes font partie de la collection d’œuvres d’art de la ville de Québec ainsi que de l’artothèque de l’Institut canadien. Deux fois finaliste au concours LUX, elle a depuis illustré un livre publié aux éditions de la Courte échelle. Ce premier livre pour enfants lui a d’ailleurs valu le prix Illustration Jeunesse, catégorie Relève, décerné par le Salon du livre de Trois-Rivières.
Engramme présente Le cœur net, une exposition individuelle composée de dix-huit impressions numériques de l’artiste Valérie Boivin.
Le cœur net, exposition au titre caustique, s’élabore sur l’ambiguïté des rapports humains puisque rien n’y est jamais clair ni établi. Tout se transforme à tout instant : perdre un ami peut se faire en quelques mots, tomber amoureux se joue sur si peu. Nous marchons, mangeons, rions avec cette épée de Damoclès perchée au-dessus de nos têtes. Dans le travail de Valérie Boivin, l’épée brille comme une étoile.
Le corpus d’oeuvres présenté ici explore les profonds sentiments que sont la solitude, le réconfort et le jeu, enchaînant ces trois états les uns aux autres à la manière d’une roue perpétuelle.
Combinant le malaise, la joie, l’exhibitionnisme et un certain désordre intérieur, les oeuvres font aussi allusion à l’imaginaire circassien, présentant l’humain, à l’instar de l’animal, comme une bête prisonnière d’elle-même qui se dévoile dans une parade pleine de déception.
Valérie Boivin vit et travaille à Québec. Après avoir complété un baccalauréat en design graphique à l’Université Laval, elle décide de consacrer sa pratique à l’estampe numérique. Son travail a été publié dans de nombreux magazines (Applied arts, Grafika, le magazine finlandais HESA-inprint). Ses estampes font partie de la collection d’œuvres d’art de la ville de Québec ainsi que de l’artothèque de l’Institut canadien. Deux fois finaliste au concours LUX, elle a depuis illustré un livre publié aux éditions de la Courte échelle. Ce premier livre pour enfants lui a d’ailleurs valu le prix Illustration Jeunesse, catégorie Relève, décerné par le Salon du livre de Trois-Rivières.
G1K 3P9 Québec (Québec)