Le Lieu, centre en art actuel, présente la première exposition solo de Nataliya Petkova dans le cadre de sa programmation estivale. Pointé littéralement par ses coordonnées cartographiques, lat. 46.816229, long.−71.22125, l’espace de la galerie met en place un ensemble de quatre objets curieux qui exigent la participation active de la part du public. Poussé par la curiosité oué par l’envie d’expérimenter, le visiteur est invité à découvrir les pièces et à les utiliser à sa guise. Même si la ligne directrice de l’exposition se déploie essentiellement dans la sphère de la promenade sonore, l’artiste laisse le choix d’utilisation des objets à l’imagination de chacun. La structure formelle des œuvres, que ce soit un costume-prothèse ou une installation vidéo interactive, est parfaitement visible et, donc, facilement reproductible, en faisant référence au phénomène de travail open source.
« Alors où se situent mes dernières œuvres ? Un inventaire d’objets destinés à être disponibles dans un espace désigné, et non exposés. Certes, c’est mon effort productif qui les a poussés vers la matérialisation, mais dès leur apparition, ils ne m’appartiennent pas plus qu’à une autre personne quelconque dans le monde entier. Leur essence est dans la circulation, l’utilisation diverse et spontanée par laquelle on arrive à provoquer un vécu personnel. Leur sens est dans la multiplicité d’expériences possibles qui se situent non pas dans le cadre formel de chacun d’eux, mais dans plusieurs autres espaces simultanés; l’imaginaire individuel qui évoque ses propres désirs et les réalise ensuite; la perception territoriale qui bascule entre le visible et l’audible, etc.»
Le Lieu, centre en art actuel, présente la première exposition solo de Nataliya Petkova dans le cadre de sa programmation estivale. Pointé littéralement par ses coordonnées cartographiques, lat. 46.816229, long.−71.22125, l’espace de la galerie met en place un ensemble de quatre objets curieux qui exigent la participation active de la part du public. Poussé par la curiosité oué par l’envie d’expérimenter, le visiteur est invité à découvrir les pièces et à les utiliser à sa guise. Même si la ligne directrice de l’exposition se déploie essentiellement dans la sphère de la promenade sonore, l’artiste laisse le choix d’utilisation des objets à l’imagination de chacun. La structure formelle des œuvres, que ce soit un costume-prothèse ou une installation vidéo interactive, est parfaitement visible et, donc, facilement reproductible, en faisant référence au phénomène de travail open source.
« Alors où se situent mes dernières œuvres ? Un inventaire d’objets destinés à être disponibles dans un espace désigné, et non exposés. Certes, c’est mon effort productif qui les a poussés vers la matérialisation, mais dès leur apparition, ils ne m’appartiennent pas plus qu’à une autre personne quelconque dans le monde entier. Leur essence est dans la circulation, l’utilisation diverse et spontanée par laquelle on arrive à provoquer un vécu personnel. Leur sens est dans la multiplicité d’expériences possibles qui se situent non pas dans le cadre formel de chacun d’eux, mais dans plusieurs autres espaces simultanés; l’imaginaire individuel qui évoque ses propres désirs et les réalise ensuite; la perception territoriale qui bascule entre le visible et l’audible, etc.»
Québec (Québec) G1K 6M4