En effet, la semaine dernière, treize associations d’artistes, incluant le
RAAV, avaient demandé que la ministre annule la nomination de madame Mylène
Alder à la CRAAAP à titre de commissaire et de vice-présidente. Selon Le
Devoir, « les contestataires affirment ne pas avoir été consultés au sujet de
cette nomination, comme la loi le prévoit. » Les associations reprochaient à
Mme Alder d’avoir joué un rôle central au sein de l’Association des
producteurs de films et de télévision du Québec (APFTQ) mettant en doute son
objectivité lors des futures décisions de la CRAAAP. La ministre a refusé
d’annuler cette nomination en affirmant « qu’on ne peut présumer de sa
partialité, » en ajoutant qu’elle avait été choisie en raison de sa riche
expérience à l’APFTQ. Une histoire à suivre donc.
En effet, la semaine dernière, treize associations d’artistes, incluant le
RAAV, avaient demandé que la ministre annule la nomination de madame Mylène
Alder à la CRAAAP à titre de commissaire et de vice-présidente. Selon Le
Devoir, « les contestataires affirment ne pas avoir été consultés au sujet de
cette nomination, comme la loi le prévoit. » Les associations reprochaient à
Mme Alder d’avoir joué un rôle central au sein de l’Association des
producteurs de films et de télévision du Québec (APFTQ) mettant en doute son
objectivité lors des futures décisions de la CRAAAP. La ministre a refusé
d’annuler cette nomination en affirmant « qu’on ne peut présumer de sa
partialité, » en ajoutant qu’elle avait été choisie en raison de sa riche
expérience à l’APFTQ. Une histoire à suivre donc.