« La fin d’internet serait-elle pour bientôt ? »
C’est avec cette question et une exposition portant sur la possibilité d’un effondrement du World Wide Web qu’Eastern Bloc débutera l’année 2017. Rassemblant cinq œuvres, cette exposition, qui a lieu du 19 janvier au 15 février, propose d’engager le public dans une réflexion sur une forme d’après-monde du web.
Cette idée d’un effondrement général du réseau – dès 2023 – a été évoquée lors d’un symposium scientifique organisé en 2015 par la Royal Society britannique sur le « Capacity Crunch» (crise de capacité) d’internet. C’est suite à la publication de cette nouvelle dans les médias que Nathalie Bachand, commissaire de l’exposition, a souhaité rassembler des propositions artistiques visant à imaginer cette ère post-web et à se questionner sur la façon d’occuper cet espace hypothétiquement en sursis.
Quelle forme l’expression, à la fois dématérialisée et délocalisée, du pouvoir – économique et par défaut politique – prendrait-elle si la machine se trouvait débranchée ? Mais aussi, qu’est-il possible de faire ou de dire en attendant ?
Les artistes Frédérique Laliberté et son projet Web Infinitisme.com Forever A Prototype; Grégory Chatonsky et Dominique Sirois et leur installation Mémoires Éteintes III; Julien Boily et son tableau Memento Vastum; Julie Tremble et son animation 3D BPM 37093; et enfin le duo Projet EVA (Simon Laroche et Etienne Grenier) avec leur installation L’Objet de l’Internet proposent d’entamer cette réflexion.
« La fin d’internet serait-elle pour bientôt ? »
C’est avec cette question et une exposition portant sur la possibilité d’un effondrement du World Wide Web qu’Eastern Bloc débutera l’année 2017. Rassemblant cinq œuvres, cette exposition, qui a lieu du 19 janvier au 15 février, propose d’engager le public dans une réflexion sur une forme d’après-monde du web.
Cette idée d’un effondrement général du réseau – dès 2023 – a été évoquée lors d’un symposium scientifique organisé en 2015 par la Royal Society britannique sur le « Capacity Crunch» (crise de capacité) d’internet. C’est suite à la publication de cette nouvelle dans les médias que Nathalie Bachand, commissaire de l’exposition, a souhaité rassembler des propositions artistiques visant à imaginer cette ère post-web et à se questionner sur la façon d’occuper cet espace hypothétiquement en sursis.
Quelle forme l’expression, à la fois dématérialisée et délocalisée, du pouvoir – économique et par défaut politique – prendrait-elle si la machine se trouvait débranchée ? Mais aussi, qu’est-il possible de faire ou de dire en attendant ?
Les artistes Frédérique Laliberté et son projet Web Infinitisme.com Forever A Prototype; Grégory Chatonsky et Dominique Sirois et leur installation Mémoires Éteintes III; Julien Boily et son tableau Memento Vastum; Julie Tremble et son animation 3D BPM 37093; et enfin le duo Projet EVA (Simon Laroche et Etienne Grenier) avec leur installation L’Objet de l’Internet proposent d’entamer cette réflexion.
rue de Louvain Ouest
Montréal, QC (H2N1A4)