Winfried Georg Maximilian Sebald, écrivain et essayiste allemand (1944-2001), constitue la prémisse de ce projet. Hantés par l’idée de destruction, de déracinement, d’expatriation, ses récits sont tous des objets singuliers parmi le paysage de la littérature germanique. Dans son œuvre, le montage de textes et d’images, le télescopage d’époques et de lieux avivent inéluctablement la mémoire historique du XXe siècle.
C’est par le biais d’assemblages documentaires et fictifs, scénarisés dans un espace hybride entre celui de la maquette, du diorama ou encore du cabinet de curiosités, qu’une pluralité de voies inspirées de ses publications majeures a été explorée. Il en résulte une série de photographies nous restituant ces compositions bricolées, allusions condensées à l’univers de l’écrivain.
Titulaire d’une maîtrise en arts visuels et d’une formation en multimédia, Josée Pellerin développe une pratique alliant l’image dessinée, peinte, photographique et vidéographique. C’est à travers des configurations où diverses temporalités se matérialisent, que cette recherche fonctionne sur le mode de la superposition : celui du chevauchement de couches distinctes définissant la composition formelle des œuvres et celui d’une imagerie qui rapproche des éléments documentaires à des réalités fictionnelles.
Depuis la fin des années 80, ces œuvres ont été présentées lors d’événements au Québec, au Canada, aux États-Unis, en France et au Mexique. Boursière pour des projets de création, de déplacements et de résidences de recherche, elle a en outre publié des livres d’artiste tels que Sauf un paysage dans la tête (2013), Être là (2010) et Heureusement qu’il y avait le monde autour de moi (2006). Elle vit et travaille à Montréal où elle enseigne à l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec. Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec.
http://www.joseepellerin.com/
Winfried Georg Maximilian Sebald, écrivain et essayiste allemand (1944-2001), constitue la prémisse de ce projet. Hantés par l’idée de destruction, de déracinement, d’expatriation, ses récits sont tous des objets singuliers parmi le paysage de la littérature germanique. Dans son œuvre, le montage de textes et d’images, le télescopage d’époques et de lieux avivent inéluctablement la mémoire historique du XXe siècle.
C’est par le biais d’assemblages documentaires et fictifs, scénarisés dans un espace hybride entre celui de la maquette, du diorama ou encore du cabinet de curiosités, qu’une pluralité de voies inspirées de ses publications majeures a été explorée. Il en résulte une série de photographies nous restituant ces compositions bricolées, allusions condensées à l’univers de l’écrivain.
Titulaire d’une maîtrise en arts visuels et d’une formation en multimédia, Josée Pellerin développe une pratique alliant l’image dessinée, peinte, photographique et vidéographique. C’est à travers des configurations où diverses temporalités se matérialisent, que cette recherche fonctionne sur le mode de la superposition : celui du chevauchement de couches distinctes définissant la composition formelle des œuvres et celui d’une imagerie qui rapproche des éléments documentaires à des réalités fictionnelles.
Depuis la fin des années 80, ces œuvres ont été présentées lors d’événements au Québec, au Canada, aux États-Unis, en France et au Mexique. Boursière pour des projets de création, de déplacements et de résidences de recherche, elle a en outre publié des livres d’artiste tels que Sauf un paysage dans la tête (2013), Être là (2010) et Heureusement qu’il y avait le monde autour de moi (2006). Elle vit et travaille à Montréal où elle enseigne à l’École des arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec. Ce projet a été rendu possible grâce à l’appui financier du Conseil des arts et des lettres du Québec.
http://www.joseepellerin.com/
Alma, QC, G8B 5W1