JOHN BOYLE-SINGFIELD
Le projet de John Boyle-Singfield donne suite à une résidence qui s’est échelonnée sur plusieurs mois, débutant en juin 2012. L’artiste présente une réappropriation de l’exposition Hors champ qui fut présentée à Espace Virtuel du 6 septembre au 11 novembre 2012. Le principe de la mauvaise copie (bootleg), abondamment présente sur internet et les sites de partage vidéo, sert de base à l’artiste pour cette exposition audacieuse, explorant le recyclage des images entre la haute culture et le flux du divertissement.
John Boyle-Singfield est né en 1987 à Chicoutimi. Il travaille dans un large éventail de domaines, incluant vidéo, sculpture, installation, peinture, texte et internet. Son approche axée sur l’appropriation et le détournement amène une réflexion critique sur le domaine des nouveaux médias et des nouvelles technologies. Il a présenté son travail lors d’expositions solo à Eastern Bloc, Montréal; Galerie Sans Nom, Moncton; Le Lobe, Chicoutimi et aussi dans plusieurs expositions collectives, notamment à la galerie Family Business, New York; Maison de la Culture Côte-des-Neiges, Montréal; Espace Virtuel, Chicoutimi et au Centre national d’exposition, Jonquière. Il est le fondateur de la maison d’édition Jeune Fille, une entreprise vouée à la diffusion, l’expérimentation et la mise en marché du livre numérique au Québec. John Boyle-Singfield vit et travaille à Chicoutimi.
www.johnboylesingfield.com
YANIK POTVIN – LEG(G)O MY EGO
Les procédés de création qui tentent d’éviter les pièges des déterminismes en créent d’autres plus profitables. Dans la recherche improbable qui voudrait faire disparaître les traces de soi, forgées par d’autres, l’un conclurait rapidement à un système tentaculaire qui se définirait par une tentative d’avorter une lancée professionnelle alors que pour un autre cela deviendrait une immense poubelle d’idées, propice à la formation de nouvelles pieuvres. Entre les deux, il y a ce que l’on note et ce que nous n’osons pas montrer, des bribes d’idées qui, parfois, et heureusement, prennent le chemin de la réification. L’humour offre une belle opportunité pour tourner le dos aux culs-de-sac de la communication. Permettant surtout de rire de soi, elle ouvre la porte à une dérision des normes du discours répétitif, des ambiances redondantes et des esthétiques populaires. Dans les contraintes, faire des choix, faire la fête, des ballons, des guirlandes, des Crayola, et tout ça sans se plaindre. ‘’LEGGO MY EGO’’ devient une arme parfaite pour se construire sur le dos des autres en devenant un satyre de soi-même. Comme nous le faisons chaque jour et dans chaque rencontre avec autrui. Comme nous serons toujours divisés entre le fait de rester intègre et notre droit d’exister.
Pardon. Merci. Bonjour.
Yanik Potvin est né à Alma en 1980. Il a débuté son parcours par des études collégiales en arts visuels au Cégep de Jonquière. Il a par la suite complété un certificat en études biologiques à l’Université du Québec à Montréal, ainsi qu’un baccalauréat en anthropologie, spécialisé en ethnolinguistique, à l’Université de Montréal. Il a travaillé en archéologie préhistorique pendant 5 ans un peu partout au Québec tout en maintenant parallèlement des activités professionnelles en céramique et en apiculture. Au printemps 2012, Yanik Potvin a été invité à représenter le Québec en céramique aux côtés de huit collègues à Bandol, France. Il a également été invité à participer à une résidence-exposition en République Tchèque, à l’automne de la même année. Il termine présentement une maîtrise en arts visuels à l’Université du Québec à Chicoutimi.
Suivi à 21h d’une Soirée festive avec DJ Set
Au bar Le Sous-Bois, 405 rue Racine Est
JOHN BOYLE-SINGFIELD
Le projet de John Boyle-Singfield donne suite à une résidence qui s’est échelonnée sur plusieurs mois, débutant en juin 2012. L’artiste présente une réappropriation de l’exposition Hors champ qui fut présentée à Espace Virtuel du 6 septembre au 11 novembre 2012. Le principe de la mauvaise copie (bootleg), abondamment présente sur internet et les sites de partage vidéo, sert de base à l’artiste pour cette exposition audacieuse, explorant le recyclage des images entre la haute culture et le flux du divertissement.
John Boyle-Singfield est né en 1987 à Chicoutimi. Il travaille dans un large éventail de domaines, incluant vidéo, sculpture, installation, peinture, texte et internet. Son approche axée sur l’appropriation et le détournement amène une réflexion critique sur le domaine des nouveaux médias et des nouvelles technologies. Il a présenté son travail lors d’expositions solo à Eastern Bloc, Montréal; Galerie Sans Nom, Moncton; Le Lobe, Chicoutimi et aussi dans plusieurs expositions collectives, notamment à la galerie Family Business, New York; Maison de la Culture Côte-des-Neiges, Montréal; Espace Virtuel, Chicoutimi et au Centre national d’exposition, Jonquière. Il est le fondateur de la maison d’édition Jeune Fille, une entreprise vouée à la diffusion, l’expérimentation et la mise en marché du livre numérique au Québec. John Boyle-Singfield vit et travaille à Chicoutimi.
www.johnboylesingfield.com
YANIK POTVIN – LEG(G)O MY EGO
Les procédés de création qui tentent d’éviter les pièges des déterminismes en créent d’autres plus profitables. Dans la recherche improbable qui voudrait faire disparaître les traces de soi, forgées par d’autres, l’un conclurait rapidement à un système tentaculaire qui se définirait par une tentative d’avorter une lancée professionnelle alors que pour un autre cela deviendrait une immense poubelle d’idées, propice à la formation de nouvelles pieuvres. Entre les deux, il y a ce que l’on note et ce que nous n’osons pas montrer, des bribes d’idées qui, parfois, et heureusement, prennent le chemin de la réification. L’humour offre une belle opportunité pour tourner le dos aux culs-de-sac de la communication. Permettant surtout de rire de soi, elle ouvre la porte à une dérision des normes du discours répétitif, des ambiances redondantes et des esthétiques populaires. Dans les contraintes, faire des choix, faire la fête, des ballons, des guirlandes, des Crayola, et tout ça sans se plaindre. ‘’LEGGO MY EGO’’ devient une arme parfaite pour se construire sur le dos des autres en devenant un satyre de soi-même. Comme nous le faisons chaque jour et dans chaque rencontre avec autrui. Comme nous serons toujours divisés entre le fait de rester intègre et notre droit d’exister.
Pardon. Merci. Bonjour.
Yanik Potvin est né à Alma en 1980. Il a débuté son parcours par des études collégiales en arts visuels au Cégep de Jonquière. Il a par la suite complété un certificat en études biologiques à l’Université du Québec à Montréal, ainsi qu’un baccalauréat en anthropologie, spécialisé en ethnolinguistique, à l’Université de Montréal. Il a travaillé en archéologie préhistorique pendant 5 ans un peu partout au Québec tout en maintenant parallèlement des activités professionnelles en céramique et en apiculture. Au printemps 2012, Yanik Potvin a été invité à représenter le Québec en céramique aux côtés de huit collègues à Bandol, France. Il a également été invité à participer à une résidence-exposition en République Tchèque, à l’automne de la même année. Il termine présentement une maîtrise en arts visuels à l’Université du Québec à Chicoutimi.
Suivi à 21h d’une Soirée festive avec DJ Set
Au bar Le Sous-Bois, 405 rue Racine Est