Après le pont où se rencontrent les rivières
JINYOUNG KIM (MONTRÉAL)
Autour du symbole de la maison comme ancrage de l’identité, Jinyoung Kim propose une quête sur l’origine dans un voyage vers son pays natal, la Corée du Sud. L’artiste y retrouve la maison de son grand-père paternel et la place au cœur de ses réflexions sur son histoire personnelle d’immigration. Représentant d’abord un espace de retrouvailles, la maison évoque l’histoire de sa famille, de ses origines mais aussi de ce qui a été laissé derrière elle. Certaines photographies retracent le parcours intime du retour en ces lieux, qui deviennent ensuite la scène de recherches et d’interventions artistiques. L’intérieur de la maison est scruté minutieusement, et les objets qui s’y trouvent sont déplacés, composant des assemblages qui témoignent à la fois de l’attachement familial et de la difficulté de tout conserver avec soi.
Trou noir et rituels familiaux
STÉPHANIE ROLAND (BRUXELLES)
Sur des fonds bleus évoquant les profondeurs de l’univers se dessinent les motifs d’une recherche sur les rituels familiaux. Puisant à la fois dans l’imaginaire du cinéma et de la science, Stéphanie Roland met en scène des objets du quotidien qui sont sortis de leur contexte pour prendre part à une intrigue mystérieuse. Dans une ambiance de science-fiction, la représentation de liens familiaux entre en collision avec celle des phénomènes cosmiques, comme si les complexités de la psychologie familiale pouvaient interagir avec celles de l’astrophysique. Entretenant un rapport presque sculptural avec la photographie, l’artiste transforme tour à tour l’objet en image et l’image en objet, construisant ainsi une fiction photographique qui nous transporte dans un espace où il est presque possible de toucher aux trous noirs.
Après le pont où se rencontrent les rivières
JINYOUNG KIM (MONTRÉAL)
Autour du symbole de la maison comme ancrage de l’identité, Jinyoung Kim propose une quête sur l’origine dans un voyage vers son pays natal, la Corée du Sud. L’artiste y retrouve la maison de son grand-père paternel et la place au cœur de ses réflexions sur son histoire personnelle d’immigration. Représentant d’abord un espace de retrouvailles, la maison évoque l’histoire de sa famille, de ses origines mais aussi de ce qui a été laissé derrière elle. Certaines photographies retracent le parcours intime du retour en ces lieux, qui deviennent ensuite la scène de recherches et d’interventions artistiques. L’intérieur de la maison est scruté minutieusement, et les objets qui s’y trouvent sont déplacés, composant des assemblages qui témoignent à la fois de l’attachement familial et de la difficulté de tout conserver avec soi.
Trou noir et rituels familiaux
STÉPHANIE ROLAND (BRUXELLES)
Sur des fonds bleus évoquant les profondeurs de l’univers se dessinent les motifs d’une recherche sur les rituels familiaux. Puisant à la fois dans l’imaginaire du cinéma et de la science, Stéphanie Roland met en scène des objets du quotidien qui sont sortis de leur contexte pour prendre part à une intrigue mystérieuse. Dans une ambiance de science-fiction, la représentation de liens familiaux entre en collision avec celle des phénomènes cosmiques, comme si les complexités de la psychologie familiale pouvaient interagir avec celles de l’astrophysique. Entretenant un rapport presque sculptural avec la photographie, l’artiste transforme tour à tour l’objet en image et l’image en objet, construisant ainsi une fiction photographique qui nous transporte dans un espace où il est presque possible de toucher aux trous noirs.
Québec (Québec) G1K 3P9
+1 418.640.2558 laboratoire