L’image bousculée
Mon travail s’articule d’abord autour d’enjeux formels liés à la composition et à la lecture de l’image en peinture. J’utilise les contrastes entre formes organiques et géométriques pour réaliser des tableaux composés de plans superposés qui génèrent de subtils effets de push-and-pull.
J’ai récemment entamé un projet pour lequel j’utilise certains de mes tableaux pour observer les trajectoires possibles d’une image. Puisque notre rapport au monde est continuellement soumis à différents filtres qui synthétisent et compressent les informations qui servent à représenter ou évoquer le réel, mon projet a pour objectif de scruter l’espace qui se situe entre le réel et le virtuel (l’objet et la représentation de l’objet). C’est donc par le biais de la déformation, du glissement et autres truchements informatiques que j’entends explorer les transformations que peut subir l’image d’un tableau. Cette approche synthétisante, qui semble s’appliquer non seulement à l’image, mais aussi à d’autres sphères de notre société, me semble être un terrain fertile pour de multiples explorations.
Jean-Benoit Pouliot (n. 1975) amorce sa carrière artistique au début des années 2000 par l’entremise de la gravure. La peinture acquiert une place centrale dans sa pratique à compter de 2008, et depuis, Pouliot a pris part à plusieurs expositions individuelles et collectives au Québec et à New York. Pouliot a également participé à la manifestation d’art public Aires libres à Montréal (2014), à l’événement Peinture Extrême à Montréal (2013 et 2010) ainsi qu’au festival Mois Multi 10 à Québec (2009). Ses œuvres sont présentes au sein de nombreuses collections privées et institutionnelles. Jean-Benoît Pouliot est représenté par la Galerie Hugues Charbonneau à Montréal.
http://huguescharbonneau.com/jean-benoit-pouliot/
http://www.jbpouliot.com/
L’image bousculée
Mon travail s’articule d’abord autour d’enjeux formels liés à la composition et à la lecture de l’image en peinture. J’utilise les contrastes entre formes organiques et géométriques pour réaliser des tableaux composés de plans superposés qui génèrent de subtils effets de push-and-pull.
J’ai récemment entamé un projet pour lequel j’utilise certains de mes tableaux pour observer les trajectoires possibles d’une image. Puisque notre rapport au monde est continuellement soumis à différents filtres qui synthétisent et compressent les informations qui servent à représenter ou évoquer le réel, mon projet a pour objectif de scruter l’espace qui se situe entre le réel et le virtuel (l’objet et la représentation de l’objet). C’est donc par le biais de la déformation, du glissement et autres truchements informatiques que j’entends explorer les transformations que peut subir l’image d’un tableau. Cette approche synthétisante, qui semble s’appliquer non seulement à l’image, mais aussi à d’autres sphères de notre société, me semble être un terrain fertile pour de multiples explorations.
Jean-Benoit Pouliot (n. 1975) amorce sa carrière artistique au début des années 2000 par l’entremise de la gravure. La peinture acquiert une place centrale dans sa pratique à compter de 2008, et depuis, Pouliot a pris part à plusieurs expositions individuelles et collectives au Québec et à New York. Pouliot a également participé à la manifestation d’art public Aires libres à Montréal (2014), à l’événement Peinture Extrême à Montréal (2013 et 2010) ainsi qu’au festival Mois Multi 10 à Québec (2009). Ses œuvres sont présentes au sein de nombreuses collections privées et institutionnelles. Jean-Benoît Pouliot est représenté par la Galerie Hugues Charbonneau à Montréal.
http://huguescharbonneau.com/jean-benoit-pouliot/
http://www.jbpouliot.com/
Alma, QC, G8B 5W1