L’état sauvage et la survie sont ma nature oubliée. Je demande à reprendre, ce qui m’appartient, ce que j’ai perdu. Instinctivement des métaphores se dessinent. Une quête d’identité me guide à travers des voyages exploratoires. Je me nourris de ce dont on ne connaît plus l’origine, du savoir primitif qui s’épuise. Dans l’instant, le territoire, la violence et l’obsession du corps me gouvernent, l’incongruité humaine me touche.
Je veux excaver mes tripes, fouiller dans les bribes de savoir ancestral… ce qui en reste. J’ai une envie viscérale de liberté, d’être moi humaine et animal.
Dans mes créations, l’anatomie se profile, le cycle de la vie et de la mort prend forme. Se confondent, paysage, ossements, muscles, et rivières. Je morcèle accumule, décuple et distords les figures pour quelle prennent de la force. Intuitivement, je sculpte les matières naturelles, pour leurs symboliques. L’étendue des médiums dans mes œuvres est vaste: verre, bois, céramique, métaux, peau, textiles… Malgré moi, la sensualité et la douceur dominent.
Mes sculptures semblent sortir d’un songe, duquel émanent poésie et narration. Je veux être un anachronisme parmi les civilisés, traquer ma nature et alimenter celle des autres.
Les sculptures d’Ito Laïla Le François, sont une métaphore de la limite entre la beauté et la laideur humaine. Elle est fascinée par le primitif et le cycle de la vie et de la mort. Ito, à reçu un diplôme de la maison des Métiers d’Arts de Québec en sculpture ainsi qu’un diplôme d’Espace Verre. Elle a exposé entre les murs de musée, de galeries, de foires et de centres d’artiste. Elle travaille présentement sur une expo individuelle qui sera présentée au Musée François Pilote. Elle vie actuellement dans la région du Bas-Saint-Laurent ou se trouve sont atelier en pleine nature.
http://www.itolailalefrancois.com/
L’état sauvage et la survie sont ma nature oubliée. Je demande à reprendre, ce qui m’appartient, ce que j’ai perdu. Instinctivement des métaphores se dessinent. Une quête d’identité me guide à travers des voyages exploratoires. Je me nourris de ce dont on ne connaît plus l’origine, du savoir primitif qui s’épuise. Dans l’instant, le territoire, la violence et l’obsession du corps me gouvernent, l’incongruité humaine me touche.
Je veux excaver mes tripes, fouiller dans les bribes de savoir ancestral… ce qui en reste. J’ai une envie viscérale de liberté, d’être moi humaine et animal.
Dans mes créations, l’anatomie se profile, le cycle de la vie et de la mort prend forme. Se confondent, paysage, ossements, muscles, et rivières. Je morcèle accumule, décuple et distords les figures pour quelle prennent de la force. Intuitivement, je sculpte les matières naturelles, pour leurs symboliques. L’étendue des médiums dans mes œuvres est vaste: verre, bois, céramique, métaux, peau, textiles… Malgré moi, la sensualité et la douceur dominent.
Mes sculptures semblent sortir d’un songe, duquel émanent poésie et narration. Je veux être un anachronisme parmi les civilisés, traquer ma nature et alimenter celle des autres.
Les sculptures d’Ito Laïla Le François, sont une métaphore de la limite entre la beauté et la laideur humaine. Elle est fascinée par le primitif et le cycle de la vie et de la mort. Ito, à reçu un diplôme de la maison des Métiers d’Arts de Québec en sculpture ainsi qu’un diplôme d’Espace Verre. Elle a exposé entre les murs de musée, de galeries, de foires et de centres d’artiste. Elle travaille présentement sur une expo individuelle qui sera présentée au Musée François Pilote. Elle vie actuellement dans la région du Bas-Saint-Laurent ou se trouve sont atelier en pleine nature.
http://www.itolailalefrancois.com/
Alma, QC, G8B 5W1