: Le juge Mark Shamie estime que la Biennale a commis une faute contractuelle en ne soutenant pas suffisamment l’artiste lors de ses relations de presse pour expliquer le retrait de l’oeuvre. Le juge conclut toutefois que la Biennale a agi de bonne foi et qu’elle a démontré qu’elle s’était opposée au retrait de l’oeuvre, lequel retrait “n’est aucunement lié à la valeur de l’artiste ou de son oeuvre”. Le juge évalue que la Biennale n’a pas nui à la réputation de l’artiste même si elle a été la cause de beaucoup de stress pour Isabelle Hayeur en l’obligeant à faire plus de démarches médiatiques qu’elle aurait normalement dû faire.
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: Le juge Mark Shamie estime que la Biennale a commis une faute contractuelle en ne soutenant pas suffisamment l’artiste lors de ses relations de presse pour expliquer le retrait de l’oeuvre. Le juge conclut toutefois que la Biennale a agi de bonne foi et qu’elle a démontré qu’elle s’était opposée au retrait de l’oeuvre, lequel retrait “n’est aucunement lié à la valeur de l’artiste ou de son oeuvre”. Le juge évalue que la Biennale n’a pas nui à la réputation de l’artiste même si elle a été la cause de beaucoup de stress pour Isabelle Hayeur en l’obligeant à faire plus de démarches médiatiques qu’elle aurait normalement dû faire.
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