Ce projet est une référence directe à des concepts d’évolution observés dans la nature. C’est une exposition qui véhicule une logique de mimétique, inspirée par la croissance des plantes et du comportement animal usant de stratégies adaptatives d’imitation pour survivre à leurs environnements. À travers le temps et confrontés à une multitude de facteurs, ceux-ci ont dû s’adapter aux changements, allant jusqu’à modifier leurs corps et leurs compositions afin de se défendre.
Représenté principalement par la sculpture et le dessin sous la forme d’une installation, le travail démontre une juxtaposition originale de matériaux et de surfaces inhabituelles offrant une dualité entre le naturel et l’artificiel. Se situant sur le seuil de l’abstraction et de la figuration, les oeuvres agissent comme des personnages, des coraux marins, des plantes, des amoncèlements de matière et ont un aspect ambigu, entre séduisant et menaçant. De plus, le projet se distingue par une trame narrative s’inspirant de la science-fiction. Ce courant littéraire nourrit l’imaginaire chez le spectateur qui observe les oeuvres et compose des possibilités alternatives du futur. Cette référence à la science-fiction permet aussi de revisiter des oeuvres en récupérant les concepts de société dystopique, de nouvelle technologie, de psychologie altérée et de vie extraterrestre. D’une certaine manière, grâce à la mise en scène, l’espace d’exposition se transforme en un système écologique futuriste organisé sous la forme d’une hiérarchie entre les œuvres présentées.
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Philippe Caron Lefebvre utilise le médium de la sculpture pour questionner le statut de celle-ci et des concepts en lien avec les systèmes, la nature, le design, la science et la fiction. Diplômé du baccalauréat en arts visuels et médiatique de l’Université du Québec à Montréal et d’une maitrise en beaux-arts de l’Université Concordia, il a présenté son travail, au Canada, au Mexique et au Japon. Notamment, au Studio Kura (Itoshima, 2015), PDA Projects (Ottawa, 2015), Circa art actuel (Montréal, 2014), Galerie Antoine Ertaskiran (Montréal, 2014), Musée d’art contemporain des Laurentides (St-Jérôme, 2014-15), Université CMAEM, (Cuernavaca, 2014), Museo Erasto Taller Cortez (Puebla, 2013) et Caravansérail (Rimouski, 2013). Il a été récompensé d’une bourse du Conseil des arts et des lettres du Québec, catégorie relève. Il est représenté par la Galerie Nicolas Robert (Montréal).
http://philippecaronlefebvre.com/
Ce projet est une référence directe à des concepts d’évolution observés dans la nature. C’est une exposition qui véhicule une logique de mimétique, inspirée par la croissance des plantes et du comportement animal usant de stratégies adaptatives d’imitation pour survivre à leurs environnements. À travers le temps et confrontés à une multitude de facteurs, ceux-ci ont dû s’adapter aux changements, allant jusqu’à modifier leurs corps et leurs compositions afin de se défendre.
Représenté principalement par la sculpture et le dessin sous la forme d’une installation, le travail démontre une juxtaposition originale de matériaux et de surfaces inhabituelles offrant une dualité entre le naturel et l’artificiel. Se situant sur le seuil de l’abstraction et de la figuration, les oeuvres agissent comme des personnages, des coraux marins, des plantes, des amoncèlements de matière et ont un aspect ambigu, entre séduisant et menaçant. De plus, le projet se distingue par une trame narrative s’inspirant de la science-fiction. Ce courant littéraire nourrit l’imaginaire chez le spectateur qui observe les oeuvres et compose des possibilités alternatives du futur. Cette référence à la science-fiction permet aussi de revisiter des oeuvres en récupérant les concepts de société dystopique, de nouvelle technologie, de psychologie altérée et de vie extraterrestre. D’une certaine manière, grâce à la mise en scène, l’espace d’exposition se transforme en un système écologique futuriste organisé sous la forme d’une hiérarchie entre les œuvres présentées.
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Philippe Caron Lefebvre utilise le médium de la sculpture pour questionner le statut de celle-ci et des concepts en lien avec les systèmes, la nature, le design, la science et la fiction. Diplômé du baccalauréat en arts visuels et médiatique de l’Université du Québec à Montréal et d’une maitrise en beaux-arts de l’Université Concordia, il a présenté son travail, au Canada, au Mexique et au Japon. Notamment, au Studio Kura (Itoshima, 2015), PDA Projects (Ottawa, 2015), Circa art actuel (Montréal, 2014), Galerie Antoine Ertaskiran (Montréal, 2014), Musée d’art contemporain des Laurentides (St-Jérôme, 2014-15), Université CMAEM, (Cuernavaca, 2014), Museo Erasto Taller Cortez (Puebla, 2013) et Caravansérail (Rimouski, 2013). Il a été récompensé d’une bourse du Conseil des arts et des lettres du Québec, catégorie relève. Il est représenté par la Galerie Nicolas Robert (Montréal).
http://philippecaronlefebvre.com/