Avec le corpus d’œuvres Icarus, Mathieu Beauséjour explore le motif de l’éblouissement sans pour autant occulter les multiples aspirations de la figure mythologique. À ne pas manquer !
Vernissage et lancement de la publication : Samedi 14 janvier à 17 h
« Le mythe d’Icare est une incarnation des ambitions démesurées de l’esprit, de l’intellect devenu insensé et de l’avidité de pouvoir. Pensant aux civilisations qui ont vénéré le Soleil, on ne peut que constater leur chute. Je crois que notre monde contemporain n’y échappe pas : le soleil nous brûle littéralement la peau, il assèche la terre et perturbe les champs magnétiques. Tout comme le mythe, les formes actuelles du Pouvoir exposent l’irrationalité et l’avidité qui s’y rattachent. À partir de cette réflexion et de ce point de vue, du moment dans le mythe où Icare est suspendu dans les airs, qu’il désire, qu’il aspire à sa liberté et à sa mort, j’exécute une allégorie de la chute de l’empire capitaliste. » [M.B.]
Avec le corpus d’œuvres Icarus, Mathieu Beauséjour explore le motif de l’éblouissement sans pour autant occulter les multiples aspirations de la figure mythologique. L’exposition se construit et se métamorphose autour d’une série de dessins réalisés sur une surface préparée au gesso où Beauséjour trace à répétition autour d’un centre de très fines lignes qui s’étirent en périphérie du cadre. Une installation in situ, une vidéo, un gong géant et une trame sonore immersive complètent le tableau.
Avec Icarus : la chute de l’empire, Beauséjour poursuit une recherche et une réflexion qui sont au cœur de sa démarche artistique. Faisant d’Icare le symbole d’une fascination malsaine pour la volonté de puissance, il continue d’explorer la précarité de l’individu sociétal dans une conjoncture exponentiellement capitaliste. Les œuvres réunies se déploient dans la lenteur, la répétition et la gestuelle, instaurant un modus operandi autour du ralenti afin de créer des images qui sont à la fois tangibles et évanescentes parce qu’elles sont réalisées avec un minimum de moyens et une surenchère de geste et de temps.
Autodidacte, Mathieu Beauséjour présente ses installations, interventions et images depuis le milieu des années 1990. Ses œuvres ont été présentées au Canada, en Europe et dans les Amériques dans des centres d’artistes, des galeries publiques et privées, des événements, biennales et musées. Il est représenté par la Galerie Éponyme à Bordeaux (France).
Avec le corpus d’œuvres Icarus, Mathieu Beauséjour explore le motif de l’éblouissement sans pour autant occulter les multiples aspirations de la figure mythologique. À ne pas manquer !
Vernissage et lancement de la publication : Samedi 14 janvier à 17 h
« Le mythe d’Icare est une incarnation des ambitions démesurées de l’esprit, de l’intellect devenu insensé et de l’avidité de pouvoir. Pensant aux civilisations qui ont vénéré le Soleil, on ne peut que constater leur chute. Je crois que notre monde contemporain n’y échappe pas : le soleil nous brûle littéralement la peau, il assèche la terre et perturbe les champs magnétiques. Tout comme le mythe, les formes actuelles du Pouvoir exposent l’irrationalité et l’avidité qui s’y rattachent. À partir de cette réflexion et de ce point de vue, du moment dans le mythe où Icare est suspendu dans les airs, qu’il désire, qu’il aspire à sa liberté et à sa mort, j’exécute une allégorie de la chute de l’empire capitaliste. » [M.B.]
Avec le corpus d’œuvres Icarus, Mathieu Beauséjour explore le motif de l’éblouissement sans pour autant occulter les multiples aspirations de la figure mythologique. L’exposition se construit et se métamorphose autour d’une série de dessins réalisés sur une surface préparée au gesso où Beauséjour trace à répétition autour d’un centre de très fines lignes qui s’étirent en périphérie du cadre. Une installation in situ, une vidéo, un gong géant et une trame sonore immersive complètent le tableau.
Avec Icarus : la chute de l’empire, Beauséjour poursuit une recherche et une réflexion qui sont au cœur de sa démarche artistique. Faisant d’Icare le symbole d’une fascination malsaine pour la volonté de puissance, il continue d’explorer la précarité de l’individu sociétal dans une conjoncture exponentiellement capitaliste. Les œuvres réunies se déploient dans la lenteur, la répétition et la gestuelle, instaurant un modus operandi autour du ralenti afin de créer des images qui sont à la fois tangibles et évanescentes parce qu’elles sont réalisées avec un minimum de moyens et une surenchère de geste et de temps.
Autodidacte, Mathieu Beauséjour présente ses installations, interventions et images depuis le milieu des années 1990. Ses œuvres ont été présentées au Canada, en Europe et dans les Amériques dans des centres d’artistes, des galeries publiques et privées, des événements, biennales et musées. Il est représenté par la Galerie Éponyme à Bordeaux (France).
Montréal (Québec) H2L 4H2