« Pour réaliser ces œuvres, j’utilise une machine à coudre afin de créer des installations et des dessins faits de fils, en les cousant sur un tissu qui se dissout dans l’eau. Ce tissu me permet d’accumuler beaucoup de fils, de sorte que lorsque le tissu s’est dissout, l’image peut se tenir seule, sans tissu de fond. Je m’intéresse à la fragilité du fil, au fait qu’il peut se défiler, et à sa force quand il est cousu ensemble. »
Dans l’installation grandeur nature Home away from Home (Second chez-soi), McCavour reproduit le salon d’un appartement où elle habitait dans le passé. Ses meubles et ses objets personnels, recomposés au moyen de fils pendus, sont disposés dans l’espace de la galerie comme si celle-ci était un nouveau chez-soi.
Amanda McCavour détient un B.A. en beaux arts de l’université York à Toronto. Elle a participé à des résidences et exposé son travail à maintes reprises à Toronto.
« Pour réaliser ces œuvres, j’utilise une machine à coudre afin de créer des installations et des dessins faits de fils, en les cousant sur un tissu qui se dissout dans l’eau. Ce tissu me permet d’accumuler beaucoup de fils, de sorte que lorsque le tissu s’est dissout, l’image peut se tenir seule, sans tissu de fond. Je m’intéresse à la fragilité du fil, au fait qu’il peut se défiler, et à sa force quand il est cousu ensemble. »
Dans l’installation grandeur nature Home away from Home (Second chez-soi), McCavour reproduit le salon d’un appartement où elle habitait dans le passé. Ses meubles et ses objets personnels, recomposés au moyen de fils pendus, sont disposés dans l’espace de la galerie comme si celle-ci était un nouveau chez-soi.
Amanda McCavour détient un B.A. en beaux arts de l’université York à Toronto. Elle a participé à des résidences et exposé son travail à maintes reprises à Toronto.