Dans Haldes Urbaines, Cara Déry présente une série d’œuvres inspirées par les petits sommets qui s’accumulent dans les paysages urbains et suburbains, souvent aux abords des chantiers de construction. Déry explique : « À défaut de pouvoir saisir pleinement l’immensité des vrais massifs, je tracte les amas de matière similaire, ces micros paysages oubliés, ces petits sommets « d’entre saisons » qui portent la trace d’une construction, mais qui pourtant, sont l’écho miniature des reliefs naturels de la géographie. » La documentation de ces amoncellements semblables à des montagnes est saisie numériquement sur des sections de papier d’architecture transparent (Mylar) de grand format. Repliant le papier sur lui-même, Déry y ajoute ensuite des traits gestuels à l’aide de techniques plus traditionnelles de dessin. Ses œuvres posent une réflexion poétique sur l’éphémérité de nos paysages quotidiens tout en remettant en question notre rapport à un territoire de plus en plus construit de mains d’hommes.
Cara Déry vit et travaille à Ville Lemoyne. Elle est détentrice d’un Baccalauréat à L’Université du Québec à Montréal (UQAM). L’artiste a exposé son travail à la Foire d’art contemporain de St-Lambert (FAC), à la Biennale de dessin du musée du Mont-Saint-Hilaire, chez Art Mûr ainsi qu’à Toronto où elle a participé deux fois au Toronto Outdoor Art Exhibition (TOAE). Son travail fait partie de plusieurs collections publiques et privées telles les villes de Longueuil, de Saint-Jean-sur-Richelieu et la collection Loto-Québec.
*Télécharger la démarche de l’artiste.
Dans Haldes Urbaines, Cara Déry présente une série d’œuvres inspirées par les petits sommets qui s’accumulent dans les paysages urbains et suburbains, souvent aux abords des chantiers de construction. Déry explique : « À défaut de pouvoir saisir pleinement l’immensité des vrais massifs, je tracte les amas de matière similaire, ces micros paysages oubliés, ces petits sommets « d’entre saisons » qui portent la trace d’une construction, mais qui pourtant, sont l’écho miniature des reliefs naturels de la géographie. » La documentation de ces amoncellements semblables à des montagnes est saisie numériquement sur des sections de papier d’architecture transparent (Mylar) de grand format. Repliant le papier sur lui-même, Déry y ajoute ensuite des traits gestuels à l’aide de techniques plus traditionnelles de dessin. Ses œuvres posent une réflexion poétique sur l’éphémérité de nos paysages quotidiens tout en remettant en question notre rapport à un territoire de plus en plus construit de mains d’hommes.
Cara Déry vit et travaille à Ville Lemoyne. Elle est détentrice d’un Baccalauréat à L’Université du Québec à Montréal (UQAM). L’artiste a exposé son travail à la Foire d’art contemporain de St-Lambert (FAC), à la Biennale de dessin du musée du Mont-Saint-Hilaire, chez Art Mûr ainsi qu’à Toronto où elle a participé deux fois au Toronto Outdoor Art Exhibition (TOAE). Son travail fait partie de plusieurs collections publiques et privées telles les villes de Longueuil, de Saint-Jean-sur-Richelieu et la collection Loto-Québec.
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Montréal (Québec) H2T 3B2