LA CHAMBRE BLANCHE est heureuse d’accueillir Guillaume Adjutor Provost en résidence de recherche du 14 mars au 24 avril.
Son projet de recherche à LA CHAMBRE BLANCHE intitulé : L’indécidé et les pratiques expositionnelles porte entre autres sur les processus de création qui émergent de la rencontre entre les pratiques du commissariat et les arts visuels. Dans la foulée de sa recherche doctorale, il s’intéresse aux artistes qui s’inspirent de stratégies du commissariat pour produire des œuvres de création.
Cette résidence lui permettra d’approfondir la recherche entamée tout en fournissant un cadre local pour l’étude des pratiques qui ont cours dans les expositions.
Selon lui, le flou qui règne sur les définitions générales des rôles de l’artiste et du commissaire est propice à l’apparition de nouvelles pratiques hybrides. Guillaume Adjutor Provost dégage des pistes de réflexion sur les manifestations de cette transdisciplinarité. Il se questionne, en autre, sur le rôle d’une terminologie adaptée qui permettrait de revoir la classification des pratiques artistiques ou du moins leur analyse. L’objectif de sa recherche est de contribuer au savoir sur un art « commissarial ».
Guillaume Adjutor Provost complète un doctorat à l’Université du Québec à Montréal. Son travail a été diffusé lors d’expositions solos et collectives au Canada, en France, en Allemagne, en Autriche, en Suisse et en Belgique. Ses projets récents mettent de l’avant des propositions hybrides qui empruntent aux langages des arts visuels, du commissariat et de la littérature.
LA CHAMBRE BLANCHE est heureuse d’accueillir Guillaume Adjutor Provost en résidence de recherche du 14 mars au 24 avril.
Son projet de recherche à LA CHAMBRE BLANCHE intitulé : L’indécidé et les pratiques expositionnelles porte entre autres sur les processus de création qui émergent de la rencontre entre les pratiques du commissariat et les arts visuels. Dans la foulée de sa recherche doctorale, il s’intéresse aux artistes qui s’inspirent de stratégies du commissariat pour produire des œuvres de création.
Cette résidence lui permettra d’approfondir la recherche entamée tout en fournissant un cadre local pour l’étude des pratiques qui ont cours dans les expositions.
Selon lui, le flou qui règne sur les définitions générales des rôles de l’artiste et du commissaire est propice à l’apparition de nouvelles pratiques hybrides. Guillaume Adjutor Provost dégage des pistes de réflexion sur les manifestations de cette transdisciplinarité. Il se questionne, en autre, sur le rôle d’une terminologie adaptée qui permettrait de revoir la classification des pratiques artistiques ou du moins leur analyse. L’objectif de sa recherche est de contribuer au savoir sur un art « commissarial ».
Guillaume Adjutor Provost complète un doctorat à l’Université du Québec à Montréal. Son travail a été diffusé lors d’expositions solos et collectives au Canada, en France, en Allemagne, en Autriche, en Suisse et en Belgique. Ses projets récents mettent de l’avant des propositions hybrides qui empruntent aux langages des arts visuels, du commissariat et de la littérature.
Québec (Québec) G1K 3S6