La Bande Vidéo présente du 1er au 30 avril 2017 GRRR de Patrick Doyon. Sous forme d’installation, ce projet inédit de l’artiste est en fait le fruit d’un travail de relecture et de réinterprétation des bandes dessinées Les Aventures de Tintin. Le vernissage aura lieu le vendredi 31 mars à 17h dans la galerie de La Bande Vidéo, située dans la Coopérative Méduse.
GRRR est constituée de séquences animées, qui sont le résultat d’un agrandissement et d’une juxtaposition de détails graphiques issus des planches de l’ensemble des albums Les Aventures de Tintin. Cette installation, qui est basée sur le principe du relevé systématique, propose un regard différent sur une œuvre connue et maintes fois saluée, mais dont les codes, associés au 9e art, sont pour la plupart incompris ou ignorés. Par ailleurs, l’acronyme GRRR, qui signifie Georges Rémi, Relu et Remixé, rappelle que cette réinterprétation de Tintin est basée sur la récurrence de motifs associés à la ligne claire (langage graphique issu de l’école belge de bandes dessinées réunie autour de Hergé), dont l’auteur Georges Rémi fut l’un des plus illustres représentants. Mais GRRR évoque également l’onomatopée qui représente un grognement et qui est régulièrement employée en bande dessinée.
La Bande Vidéo présente du 1er au 30 avril 2017 GRRR de Patrick Doyon. Sous forme d’installation, ce projet inédit de l’artiste est en fait le fruit d’un travail de relecture et de réinterprétation des bandes dessinées Les Aventures de Tintin. Le vernissage aura lieu le vendredi 31 mars à 17h dans la galerie de La Bande Vidéo, située dans la Coopérative Méduse.
GRRR est constituée de séquences animées, qui sont le résultat d’un agrandissement et d’une juxtaposition de détails graphiques issus des planches de l’ensemble des albums Les Aventures de Tintin. Cette installation, qui est basée sur le principe du relevé systématique, propose un regard différent sur une œuvre connue et maintes fois saluée, mais dont les codes, associés au 9e art, sont pour la plupart incompris ou ignorés. Par ailleurs, l’acronyme GRRR, qui signifie Georges Rémi, Relu et Remixé, rappelle que cette réinterprétation de Tintin est basée sur la récurrence de motifs associés à la ligne claire (langage graphique issu de l’école belge de bandes dessinées réunie autour de Hergé), dont l’auteur Georges Rémi fut l’un des plus illustres représentants. Mais GRRR évoque également l’onomatopée qui représente un grognement et qui est régulièrement employée en bande dessinée.