LA CHAMBRE BLANCHE présente, en activité hors programmation, une résidence in situ de Marie-Hélène Doré. Entre le 16 juin et le 22 juillet 2012, l’artiste accueillera le public au 185, rue Christophe-Colomb Est à Québec tous les vendredis de 12h à 18h, ainsi que samedi et dimanche les 21 et 22 juillet aux mêmes heures.
La démarche de recherche de Marie-Hélène Doré consiste à examiner sa pratique artistique en adoptant l’angle de la sociologie du travail, ainsi que celui de la psychologie sociale de l’environnement industriel. Intitulé « Gestes – Exagérer le dispositif travail », le projet de résidence in situ que propose l’artiste s’inscrit dans un questionnement sur le passage à l’art de pratiques de détournement qui ont occurrence en contexte de travail industriel. Dans une installation explorant le geste, des captations vidéo de mouvements de la main seront présentées conjointement à une sculpture cinétique dont l’artiste s’est refusé à automatiser le mécanisme.
Marie-Hélène Doré vise avant tout à mettre en relief un certain contexte de désappropriation qu’elle associe au « processus de rationalisation des gestes qu’a exigé la réalisation de [sa] sculpture » et à « [ses] propres incursions en milieu industriel, dont la beauté s’exprime dans des moments où une reprise de soi devient possible ».
Marie-Hélène Doré est native de Québec. Elle cumule des formations du privé se déroulant principalement en milieux industriels et réalise présentement une maîtrise interdisciplinaire en art. Elle a établi cette année un partenariat de collaboration avec un club de robotique de l’ÉTS nommé Walking Machine. En 2009, elle a obtenu un soutien à la production de L’Œil de Poisson (Québec, Canada) et a participé au TransCultural Exchange (Boston, É.-U.). Récemment, l’artiste a été publiée dans le numéro 109 de la revue Inter art actuel. Cet été, elle présente un projet et donne une conférence dans le cadre d’un festival d’arts numériques à Nouakchott, en Mauritanie.
LA CHAMBRE BLANCHE présente, en activité hors programmation, une résidence in situ de Marie-Hélène Doré. Entre le 16 juin et le 22 juillet 2012, l’artiste accueillera le public au 185, rue Christophe-Colomb Est à Québec tous les vendredis de 12h à 18h, ainsi que samedi et dimanche les 21 et 22 juillet aux mêmes heures.
La démarche de recherche de Marie-Hélène Doré consiste à examiner sa pratique artistique en adoptant l’angle de la sociologie du travail, ainsi que celui de la psychologie sociale de l’environnement industriel. Intitulé « Gestes – Exagérer le dispositif travail », le projet de résidence in situ que propose l’artiste s’inscrit dans un questionnement sur le passage à l’art de pratiques de détournement qui ont occurrence en contexte de travail industriel. Dans une installation explorant le geste, des captations vidéo de mouvements de la main seront présentées conjointement à une sculpture cinétique dont l’artiste s’est refusé à automatiser le mécanisme.
Marie-Hélène Doré vise avant tout à mettre en relief un certain contexte de désappropriation qu’elle associe au « processus de rationalisation des gestes qu’a exigé la réalisation de [sa] sculpture » et à « [ses] propres incursions en milieu industriel, dont la beauté s’exprime dans des moments où une reprise de soi devient possible ».
Marie-Hélène Doré est native de Québec. Elle cumule des formations du privé se déroulant principalement en milieux industriels et réalise présentement une maîtrise interdisciplinaire en art. Elle a établi cette année un partenariat de collaboration avec un club de robotique de l’ÉTS nommé Walking Machine. En 2009, elle a obtenu un soutien à la production de L’Œil de Poisson (Québec, Canada) et a participé au TransCultural Exchange (Boston, É.-U.). Récemment, l’artiste a été publiée dans le numéro 109 de la revue Inter art actuel. Cet été, elle présente un projet et donne une conférence dans le cadre d’un festival d’arts numériques à Nouakchott, en Mauritanie.
Québec (Québec) G1K 3S6