Géographie informelle de José Luis Torres, vernissage le vendredi 18 septembre à 17h à la Galerie du Nouvel-Ontario

GÉOGRAPHIE INFORMELLE

une reconfiguration spatiale informelle traçant les contours accidentés d’un paysage spontané

Par l’entremise de son projet « Géographie informelle », José Luis Torres nous offre un aperçu de son expérience nomade. En Argentine, Torres oscillait déjà entre deux espaces bien distincts : sa vie familiale en milieu rural et sa vie étudiante en milieu urbain. Plus tard, comme jeune immigré au Canada, ses déplacements se sont multipliés entre ses recherches, ses expositions itinérantes et ses voyages à son pays d’origine.

Entrer en relation avec une autre culture, trouver les moyens de s’y associer, se bâtir un espace à l’intérieur d’un autre espace, voilà le coeur du travail de l’artiste. Son oeuvre se situe quelque part entre les paysages architecturaux formels des villes et les espaces précaires ou informels des bidonvilles.

À Sudbury, la GNO servira d’espace formel pour accueillir le paysage informel de l’artiste. Et c‘est en y pénétrant que le spectateur passera de l’espace périphérique à l’espace central de l’oeuvre, de l’extérieur à l’intérieur du paysage de l’artiste.

« Cette pièce offre à l’imagination un refuge, une terre d’accueil »
– José Luis Torres

Torres a fait ses études à Cordoba en Argentine, où il a obtenu son baccalauréat à l’École des beaux-arts, fait ses études supérieures en sculpture et dessin à l’École supérieure des beaux-arts et ensuite suivi des cours d’architecture paysagiste à l’Université nationale d’architecture. Ses oeuvres ont été présentées dans le cadre d’expositions, de résidences et de

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