Gabion – Céline Bouffard expose ou plutôt installe. Si le point de départ de sa création est sculptural, celle-ci s’exprime et s’interprète mise en scène. Céline puise son inspiration au coeur de son environnement. Sa démarche est empreinte de plein air et sa recherche traduit une réflexion sur la relation qui unit l’homme à son environnement. Son oeuvre, à la frontière de la culture populaire et de l’art actuel, conçue à partir d’éléments naturels, s’inscrit dans l’espace où elle s’expose. Si elle est installative, elle est aussi in situ et transforme cette boîte de verre en cage, ou en abri, à vous d’y réfléchir.
Habiter par le besoin de dire. « De feuilles en aiguilles, j’étudie les rapports que l’homme entretient avec son environnement : de l’habitation du territoire à la mouvance des migrations. J’explore les mécanismes d’adaptation ou de dénaturation que nous inventons pour nous acclimater à notre milieu. C’est en cherchant les mots qui décrivent ses rapports que les sculptures prennent forme. Mon travail est empreint d’un effort et les traces des manipulations restent souvent perceptibles. Mes sculptures sont faites d’intégration d’objets et de matériaux naturels. Je travaille à comprendre mon milieu pour mieux m’y mouvoir, y vivre et pour transmettre mes acquis ». Céline Bouffard
Céline Bouffard sur le web
Gabion – Céline Bouffard expose ou plutôt installe. Si le point de départ de sa création est sculptural, celle-ci s’exprime et s’interprète mise en scène. Céline puise son inspiration au coeur de son environnement. Sa démarche est empreinte de plein air et sa recherche traduit une réflexion sur la relation qui unit l’homme à son environnement. Son oeuvre, à la frontière de la culture populaire et de l’art actuel, conçue à partir d’éléments naturels, s’inscrit dans l’espace où elle s’expose. Si elle est installative, elle est aussi in situ et transforme cette boîte de verre en cage, ou en abri, à vous d’y réfléchir.
Habiter par le besoin de dire. « De feuilles en aiguilles, j’étudie les rapports que l’homme entretient avec son environnement : de l’habitation du territoire à la mouvance des migrations. J’explore les mécanismes d’adaptation ou de dénaturation que nous inventons pour nous acclimater à notre milieu. C’est en cherchant les mots qui décrivent ses rapports que les sculptures prennent forme. Mon travail est empreint d’un effort et les traces des manipulations restent souvent perceptibles. Mes sculptures sont faites d’intégration d’objets et de matériaux naturels. Je travaille à comprendre mon milieu pour mieux m’y mouvoir, y vivre et pour transmettre mes acquis ». Céline Bouffard
Céline Bouffard sur le web
L'Étang-du-Nord (Québec) G4T 3G1