James Prior
Vernissage le vendredi 14 février à 17 h
Dans les fictions qu’il se plaît à imaginer, James Prior interprète la réalité et modifie sa propre apparence pour mettre à plat les stéréotypes modernes de la masculinité, s’inspirant en cela des théories et de l’art féministes. Puisant dans les thèmes du vieillissement, de l’amour et de la solitude, il mime les codes photographiques de la photo de famille et de la photo documentaire pour en révéler les fondements cachés.
C’est une activité éminemment masculine, la pêche, qui sert de support à la narration présentée à Skol. Les histoires de pêche de deux amis s’étendant sur plus de cinquante ans nous sont racontées à travers des photos, une collection d’objets trouvés et une installation visuelle et sonore un chur de moteurs hors-bord. Ce rituel de la culture masculine est personnifié par le personnage de John James, emblématique de la norme masculine du succès et de l’échec. L’humour et la nostalgie s’entremêlent dans cette fiction basée sur la vie d’un véritable pêcheur, George Riddell, qui a permis à l’artiste de choisir des photos dans sa collection personnelle.
Diplômé de l’Université Concordia en photographie et en cultural studies, James Prior a vu ses ouvres diffusées d’un bout à l’autre du Canada depuis deux ans. Des expositions solo ou de groupe ont eu lieu à Access Artist Run Center (Vancouver), l’Alternator Gallery (Kelowna), à Artcite (Windsor), à la Gallery 44 (Toronto), à la Gallery 101 (Ottawa) et à la Eastern Edge Gallery (Saint-Jean, Terre-Neuve) ainsi qu’à Vu (Québec).
James Prior
Vernissage le vendredi 14 février à 17 h
Dans les fictions qu’il se plaît à imaginer, James Prior interprète la réalité et modifie sa propre apparence pour mettre à plat les stéréotypes modernes de la masculinité, s’inspirant en cela des théories et de l’art féministes. Puisant dans les thèmes du vieillissement, de l’amour et de la solitude, il mime les codes photographiques de la photo de famille et de la photo documentaire pour en révéler les fondements cachés.
C’est une activité éminemment masculine, la pêche, qui sert de support à la narration présentée à Skol. Les histoires de pêche de deux amis s’étendant sur plus de cinquante ans nous sont racontées à travers des photos, une collection d’objets trouvés et une installation visuelle et sonore un chur de moteurs hors-bord. Ce rituel de la culture masculine est personnifié par le personnage de John James, emblématique de la norme masculine du succès et de l’échec. L’humour et la nostalgie s’entremêlent dans cette fiction basée sur la vie d’un véritable pêcheur, George Riddell, qui a permis à l’artiste de choisir des photos dans sa collection personnelle.
Diplômé de l’Université Concordia en photographie et en cultural studies, James Prior a vu ses ouvres diffusées d’un bout à l’autre du Canada depuis deux ans. Des expositions solo ou de groupe ont eu lieu à Access Artist Run Center (Vancouver), l’Alternator Gallery (Kelowna), à Artcite (Windsor), à la Gallery 44 (Toronto), à la Gallery 101 (Ottawa) et à la Eastern Edge Gallery (Saint-Jean, Terre-Neuve) ainsi qu’à Vu (Québec).
Montréal (Québec) H3B 1A2