FDBK marque l’achèvement d’une boucle qui a commencé il ya deux ans avec l’attribution de la première édition Claudine et Stephen Bronfman bourse en art contemporain.
Comme avec toutes les choses circulaires, une fois ensemble, il semble y avoir ni début ni fin. L’exposition rassemble un certain nombre de pièces qui, bien que autonome, forment un environnement cohérent. De l’installation vidéo, son, lumière, et les transmissions radio, à des actes de publication, l’exposition elle-même fonctionne comme une forme de rétroaction. Au coeur, c’est l’idée de l’intervalle, d’abord populaire théorisée par Pythagore dans sa recherche de l’unité harmonique comme étant à la fois l’espace entre, et la relation à, un de l’autre des notes sur un monocorde. Cette suggestion de l’expérience sonore, c’est-à-vibrations perceptibles par un autre, comme étant à la fois de l’espace et le temps sert de référence à laquelle Bates fournit une rétroaction à la fois négatif et positif. Les remorqueurs artiste et pokes à unifier les systèmes proposés par les goûts de Pythagore et de la cybernétique, comme il favorise son enquête sur d’autres auteurs, (Bergson, Shannon, Cocteau) et les idées qui enquêtent sur les liens entre la science, de la musique et le mysticisme.
Une publication portant sur un texte commandé à Marc-Alexandre Reinhardt en anglais et en français, conçu par Jim Verburg, sera lancé simultanément à une conférence publique par l’artiste. S’il vous plaît visitez notre site Web pour plus d’informations.
Jean Berger a toujours prétendu être peintre devant les juges à ses procès. Au-delà de ces affirmations, il n’existe aucune preuve de son travail ou de sa carrière artistique. L’information historique entourant la vie de Berger trouve ses origines dans les documents des tribunaux faisant la chronique des ses nombreuses démêlées avec le système judiciaire: il a fait face à des accusations de contrefaçon et d’agression pour lesquelles il a reçu des sanctions habilement évitées et dont le point culminant est son évasion de prison pour rejoindre la Nouvelle-Angleterre en 1710.
L’absence de documents historiques témoignant de la carrière artistique de Jean Berger représentait un défi pour les historiens de l’art, les commissaires et les artistes contemporains recherchant, explorant et créant de nouvelles œuvres au sein même des lacunes de cette histoire. Le Projet Jean Berger se penche sur les inévitables absences qui déterminent la recherche et la connaissance historiques. Cette connaissance floue donne alors lieu à des intersections entre art, recherche historique, pratique artistique et stratégies commissariales. L’interférence créative ainsi produite par une série d’inadéquations constitue le défi du Projet Jean Berger.
FDBK marque l’achèvement d’une boucle qui a commencé il ya deux ans avec l’attribution de la première édition Claudine et Stephen Bronfman bourse en art contemporain.
Comme avec toutes les choses circulaires, une fois ensemble, il semble y avoir ni début ni fin. L’exposition rassemble un certain nombre de pièces qui, bien que autonome, forment un environnement cohérent. De l’installation vidéo, son, lumière, et les transmissions radio, à des actes de publication, l’exposition elle-même fonctionne comme une forme de rétroaction. Au coeur, c’est l’idée de l’intervalle, d’abord populaire théorisée par Pythagore dans sa recherche de l’unité harmonique comme étant à la fois l’espace entre, et la relation à, un de l’autre des notes sur un monocorde. Cette suggestion de l’expérience sonore, c’est-à-vibrations perceptibles par un autre, comme étant à la fois de l’espace et le temps sert de référence à laquelle Bates fournit une rétroaction à la fois négatif et positif. Les remorqueurs artiste et pokes à unifier les systèmes proposés par les goûts de Pythagore et de la cybernétique, comme il favorise son enquête sur d’autres auteurs, (Bergson, Shannon, Cocteau) et les idées qui enquêtent sur les liens entre la science, de la musique et le mysticisme.
Une publication portant sur un texte commandé à Marc-Alexandre Reinhardt en anglais et en français, conçu par Jim Verburg, sera lancé simultanément à une conférence publique par l’artiste. S’il vous plaît visitez notre site Web pour plus d’informations.
Jean Berger a toujours prétendu être peintre devant les juges à ses procès. Au-delà de ces affirmations, il n’existe aucune preuve de son travail ou de sa carrière artistique. L’information historique entourant la vie de Berger trouve ses origines dans les documents des tribunaux faisant la chronique des ses nombreuses démêlées avec le système judiciaire: il a fait face à des accusations de contrefaçon et d’agression pour lesquelles il a reçu des sanctions habilement évitées et dont le point culminant est son évasion de prison pour rejoindre la Nouvelle-Angleterre en 1710.
L’absence de documents historiques témoignant de la carrière artistique de Jean Berger représentait un défi pour les historiens de l’art, les commissaires et les artistes contemporains recherchant, explorant et créant de nouvelles œuvres au sein même des lacunes de cette histoire. Le Projet Jean Berger se penche sur les inévitables absences qui déterminent la recherche et la connaissance historiques. Cette connaissance floue donne alors lieu à des intersections entre art, recherche historique, pratique artistique et stratégies commissariales. L’interférence créative ainsi produite par une série d’inadéquations constitue le défi du Projet Jean Berger.