Le Centre de diffusion Presse Papier présente l’exposition « Ève » de l’artiste Éloïse Plamondon-Pagé.
L’artiste aborde la temporalité dans l’expérience de la vie humaine en portant une attention particulière au vieillissement et à la détérioration naturelle du corps. Dans une approche relationnelle de la photographie et de l’estampe, elle s’intéresse au pouvoir évocateur du visage comme vestige d’un vécu. Éloïse Plamondon-Pagé éprouve le sentiment d’une énigme contenue là, à portée de la main et du regard, et qui est pourtant insaisissable : toute la fragilité et la force de la condition humaine.
Guidée par la coïncidence des rencontres, elle s’est jusqu’à maintenant inspirée des personnages qui ont animé son environnement quotidien. Une curiosité et une empathie profondes l’ont poussée à aller à la rencontre de ces personnes qui faisaient quotidiennement partie de sa vie. Par le biais du portrait photographique, elle a tenté de leur redonner une certaine présence. Pour l’exposition en cours, l’artiste nous propose une rencontre avec l’une de ces personnes touchantes, qui fut un peu comme sa voisine : Ève. Son visage caractéristique porte en lui l’empreinte de ses expériences et dévoile aux visiteurs un peu du mystère de son passé, que l’on imagine difficile. Organisé autour d’un regard qui nous échappe, ce portrait, fragile et délicat, évoque les tensions paradoxales entre la mémoire et l’oubli, entre la vie et la mort… permettant de contempler autrement la condition humaine, l’espace d’un instant.
Bachelière en arts visuel et médiatique de l’université Laval, elle complète présentement sa maîtrise à l’Université du Québec à Montréal.
Tous sont invités à venir rencontrer l’artiste lors du vernissage qui se tiendra le jeudi 26 février 2015 à 17 h au Centre de diffusion Presse Papier du 75 rue Saint-Antoine, Trois-Rivières.
Le Centre de diffusion Presse Papier présente l’exposition « Ève » de l’artiste Éloïse Plamondon-Pagé.
L’artiste aborde la temporalité dans l’expérience de la vie humaine en portant une attention particulière au vieillissement et à la détérioration naturelle du corps. Dans une approche relationnelle de la photographie et de l’estampe, elle s’intéresse au pouvoir évocateur du visage comme vestige d’un vécu. Éloïse Plamondon-Pagé éprouve le sentiment d’une énigme contenue là, à portée de la main et du regard, et qui est pourtant insaisissable : toute la fragilité et la force de la condition humaine.
Guidée par la coïncidence des rencontres, elle s’est jusqu’à maintenant inspirée des personnages qui ont animé son environnement quotidien. Une curiosité et une empathie profondes l’ont poussée à aller à la rencontre de ces personnes qui faisaient quotidiennement partie de sa vie. Par le biais du portrait photographique, elle a tenté de leur redonner une certaine présence. Pour l’exposition en cours, l’artiste nous propose une rencontre avec l’une de ces personnes touchantes, qui fut un peu comme sa voisine : Ève. Son visage caractéristique porte en lui l’empreinte de ses expériences et dévoile aux visiteurs un peu du mystère de son passé, que l’on imagine difficile. Organisé autour d’un regard qui nous échappe, ce portrait, fragile et délicat, évoque les tensions paradoxales entre la mémoire et l’oubli, entre la vie et la mort… permettant de contempler autrement la condition humaine, l’espace d’un instant.
Bachelière en arts visuel et médiatique de l’université Laval, elle complète présentement sa maîtrise à l’Université du Québec à Montréal.
Tous sont invités à venir rencontrer l’artiste lors du vernissage qui se tiendra le jeudi 26 février 2015 à 17 h au Centre de diffusion Presse Papier du 75 rue Saint-Antoine, Trois-Rivières.
Trois-Rivières (Québec) G9A 2J2