Par l’emploi des techniques de reproduction du texte et de l’image, Étienne Tremblay-Tardif développe une pratique spatiale matérialiste et axée sur la recherche. Dans son travail, il s’attarde à mettre en relief les textures et contextures sociales, politiques et économiques de lieux, d’architectures et d’infrastructures spécifiques.
Ses oeuvres confrontent les notions de décor et d’ornementation à la communication graphique. Il élabore des scénographies de l’information, où se lisent en filigrane les motifs intersécants de découpes et de découpages, de ratures et de striages, d’impressions et de surimpressions. Ses projets de recherche appellent des formes documentaires où s’introduisent toutefois les prospectives et contingences qui font et défont les maillages à la fois denses et ténus qui y sont cultivés selon des perspectives historiques et diachroniques. Ces travaux entretiennent le statut de propositions formelles et conceptuelles précaires : des situations possibles où sont remises en question les sémiotiques du réel et les idéologies du présent.
Étienne Tremblay-Tardif a terminé des études en histoire de l’art et études cinématographiques à l’Université de Montréal (BA 2006) et une formation en arts visuels à l’Université Concordia (BFA 2009, MFA 2013). Il a notamment participé aux expositions Open Edition (Carleton Univeristy Art Gallery, 2017), Monuments aux victimes de la liberté (AXENÉO7, 2015), L’avenir / looking forward (Biennale de Montréal / MACM, 2014), Collision 9 (Parisian Laundry, 2013) et Ignition 7 (Galerie Leonard & Bina Ellen, 2011). Il a été récipiendaire de bourses d’études de l’Université Concordia (2009, 2010) et du CRSH (2010), ainsi que de bourses de production et de recherche du CALQ (2014, 2016).
Par l’emploi des techniques de reproduction du texte et de l’image, Étienne Tremblay-Tardif développe une pratique spatiale matérialiste et axée sur la recherche. Dans son travail, il s’attarde à mettre en relief les textures et contextures sociales, politiques et économiques de lieux, d’architectures et d’infrastructures spécifiques.
Ses oeuvres confrontent les notions de décor et d’ornementation à la communication graphique. Il élabore des scénographies de l’information, où se lisent en filigrane les motifs intersécants de découpes et de découpages, de ratures et de striages, d’impressions et de surimpressions. Ses projets de recherche appellent des formes documentaires où s’introduisent toutefois les prospectives et contingences qui font et défont les maillages à la fois denses et ténus qui y sont cultivés selon des perspectives historiques et diachroniques. Ces travaux entretiennent le statut de propositions formelles et conceptuelles précaires : des situations possibles où sont remises en question les sémiotiques du réel et les idéologies du présent.
Étienne Tremblay-Tardif a terminé des études en histoire de l’art et études cinématographiques à l’Université de Montréal (BA 2006) et une formation en arts visuels à l’Université Concordia (BFA 2009, MFA 2013). Il a notamment participé aux expositions Open Edition (Carleton Univeristy Art Gallery, 2017), Monuments aux victimes de la liberté (AXENÉO7, 2015), L’avenir / looking forward (Biennale de Montréal / MACM, 2014), Collision 9 (Parisian Laundry, 2013) et Ignition 7 (Galerie Leonard & Bina Ellen, 2011). Il a été récipiendaire de bourses d’études de l’Université Concordia (2009, 2010) et du CRSH (2010), ainsi que de bourses de production et de recherche du CALQ (2014, 2016).
Alma, QC, G8B 5W1