En attendant Bárðarbunga, de François Quévillon
François Quévillon se trouvait en Islande en août 2014 alors que le volcan sous-glaciaire Bárðarbunga allait entrer en éruption. S’inspirant du climat qui y régnait et des technologies utilisées pour prévoir et suivre l’évolution de catastrophes naturelles, il a procédé à la captation de systèmes de surveillance du territoire, de sa transformation due à l’activité volcanique et des manifestations de l’énergie géothermique. Le dispositif est constitué de centaines de boucles vidéo présentées en fonction d’un modèle statistique qui intègre des données provenant des capteurs de l’ordinateur qui les diffuse. Affichées sur un moniteur afin d’évoquer les mesures d’instruments utilisés en volcanologie, leurs fluctuations mènent parfois à des espaces contemplatifs, d’autres fois à des rafales audiovisuelles chargées d’énergie. La pièce se développe de manière imprévisible et sa conclusion demeure incertaine.
Ce projet a été initié lors d’une résidence de l’artiste à SÍM Residency à Reykjavík et a été complété avec Sean Wood et Louis Commère du groupe Necotis lors d’une résidence de recherche en arts, sciences et technologies issue d’un partenariat entre Sporobole et l’Université de Sherbrooke. Leur collaboration se poursuit actuellement dans le cadre de ce programme de recherche.
En attendant Bárðarbunga, de François Quévillon
François Quévillon se trouvait en Islande en août 2014 alors que le volcan sous-glaciaire Bárðarbunga allait entrer en éruption. S’inspirant du climat qui y régnait et des technologies utilisées pour prévoir et suivre l’évolution de catastrophes naturelles, il a procédé à la captation de systèmes de surveillance du territoire, de sa transformation due à l’activité volcanique et des manifestations de l’énergie géothermique. Le dispositif est constitué de centaines de boucles vidéo présentées en fonction d’un modèle statistique qui intègre des données provenant des capteurs de l’ordinateur qui les diffuse. Affichées sur un moniteur afin d’évoquer les mesures d’instruments utilisés en volcanologie, leurs fluctuations mènent parfois à des espaces contemplatifs, d’autres fois à des rafales audiovisuelles chargées d’énergie. La pièce se développe de manière imprévisible et sa conclusion demeure incertaine.
Ce projet a été initié lors d’une résidence de l’artiste à SÍM Residency à Reykjavík et a été complété avec Sean Wood et Louis Commère du groupe Necotis lors d’une résidence de recherche en arts, sciences et technologies issue d’un partenariat entre Sporobole et l’Université de Sherbrooke. Leur collaboration se poursuit actuellement dans le cadre de ce programme de recherche.