Le paysage raconte indirectement l’histoire de l’humain, non pas par la présence humaine, mais par la trace que ce dernier y laisse, par les modifications qu’il y apporte et par les structures qu’il y érige ou fait disparaître.
À travers ce paysage s’observe une redéfinition du monde naturel vers un monde de plus en plus artificiel, man-made et souvent désincarné.
Inspirée d’une résidence d’artiste au Klondike Institute of Art and Culture à Dawson City au Yukon, Marie-Ève Martel nous permet de voyager le Grand Nord par l’entremise de maquettes et de dessins. Dans son exploration picturale récente, elle s’intéresse au contexte environnemental de cet univers nordique, à l’idée d’adaptation, du temps, du mouvement, de la fiction présente dans l’architecture de la ville de Dawson City et à leur interrelation.
Texte: Renée Saurette/Marie-Ève Martel
Le paysage raconte indirectement l’histoire de l’humain, non pas par la présence humaine, mais par la trace que ce dernier y laisse, par les modifications qu’il y apporte et par les structures qu’il y érige ou fait disparaître.
À travers ce paysage s’observe une redéfinition du monde naturel vers un monde de plus en plus artificiel, man-made et souvent désincarné.