DU SOUTERRAIN : JEUDI 17 MAI > PORTE DÈS 20H > SHOWTIME À 20H30
Belinda CAMPBELL, Caroline DUBOIS et Gérald KURDIAN
Rencontre entre une :
Crécelle n.f. 1. Moulinet de bois formé dune planchette mobile qui tourne bruyamment autour dun axe. Bruit de crécelle, sec et aigu. 2. fig. Voix de crécelle, aigue, désagréable. (Dictionnaire Le Robert, 1997).
Belinda Campbell incarne Crécelle, un personnage-voix qui jouit de sa propre jouissance. Elle extériorise la conquête dun manège interne auquel elle se raccroche comme à un pilier prêt à échouer. Dans cette arène aux contours flous, dune énigmatique sexualité sexcite un débridement total dactes désespérants. Le cri et le corps font office de matériaux brutaux que lon écorche toujours avec le souhaitable désir de rire, peut-être. Crécelle sinvestit dans un jeu de séduction où pointer du doigt la part animale des choses déclenche en elle des soubresauts de quiétude et de confiance.
Et :
Gérald Kurdian, voyant entre les films d’horreur seventies et la parapsychologie une réponse à nos inquiètes étrangetés, tente l’incarnation et l’activation de différents états-monstres. Chacun de ces moments de corps consiste en une possible mise en crise de la situation, à travers la construction en direct d’une présence combinatoire, trouble et pulsionnelle, cherchant l’impossible équilibre entre identité et contexte. Un nous à la limite du précisément rien.
DU SOUTERRAIN : JEUDI 17 MAI > PORTE DÈS 20H > SHOWTIME À 20H30
Belinda CAMPBELL, Caroline DUBOIS et Gérald KURDIAN
Rencontre entre une :
Crécelle n.f. 1. Moulinet de bois formé dune planchette mobile qui tourne bruyamment autour dun axe. Bruit de crécelle, sec et aigu. 2. fig. Voix de crécelle, aigue, désagréable. (Dictionnaire Le Robert, 1997).
Belinda Campbell incarne Crécelle, un personnage-voix qui jouit de sa propre jouissance. Elle extériorise la conquête dun manège interne auquel elle se raccroche comme à un pilier prêt à échouer. Dans cette arène aux contours flous, dune énigmatique sexualité sexcite un débridement total dactes désespérants. Le cri et le corps font office de matériaux brutaux que lon écorche toujours avec le souhaitable désir de rire, peut-être. Crécelle sinvestit dans un jeu de séduction où pointer du doigt la part animale des choses déclenche en elle des soubresauts de quiétude et de confiance.
Et :
Gérald Kurdian, voyant entre les films d’horreur seventies et la parapsychologie une réponse à nos inquiètes étrangetés, tente l’incarnation et l’activation de différents états-monstres. Chacun de ces moments de corps consiste en une possible mise en crise de la situation, à travers la construction en direct d’une présence combinatoire, trouble et pulsionnelle, cherchant l’impossible équilibre entre identité et contexte. Un nous à la limite du précisément rien.
Montréal (Québec) H2T 3B3