Les installations qui forment l’exposition Domestications se présentent comme des interrogations sur un petit ensemble de sujets et de matières.
Déjà, la représentation du réel en art est un sujet vaste, une infime portion est ici mise à l’épreuve. La vraisemblance est tout à fait abandonnée afin de laisser toute la place à l’improbable. Et cette chimère atteint un but qui est du domaine de l’inconscient ou du moins de la patrie du rêvé et alors, peut-être, du poétique.
Le paysage et les animaux constituent les motifs avec lesquels chacune des pièces recrée une sorte de nouvelle réalité. À l’aide de matériaux inaccoutumés, ou du moins qui ne constituent pas la matière de l’art noble, chacune des installations est en quelque sorte bricolée.
L’espace sonore comme une émulsion vient lier le visiteur à l’oeuvre afin d’ajouter un sens à la participation visuelle. Insinuations, commentaires et même narrations, le son est indissociable de la chose concrète. La nature a-t-elle vraiment besoin de moi? Leçon de chant, Picsous et le réel, Échantillons de ciel; quatre pièces qui domestiquent une représentation mentale en l’apprivoisant, en l’asservissant, en la transformant, en la simulant, en la recréant, en la rêvant… pour réfléchir
Diane Dubeau, artiste nouvellement qualifiée de visuelle, a eu une pratique théâtrale pendant plusieurs années. Metteure en scène, comédienne, directrice, le théâtre Espace Libre était à l’époque son port d’attache. Bachelière en arts visuels, fraîchement émoulue de Concordia, elle se consacre désormais exclusivement à son inclination.
Déjà, elle faisait des incursions marquantes du côté des arts visuels. D’abord en compagnie de Pierre Granche pour la performance-installation, Une louve, un instant, dans les marguerites, 1988. Puis chez Skol, Gravité, 1991, avec Manon Labrecque. Ont suivies les installations Un regard sonore, Cruauté et Le reflet est plus somptueux que le réel.
Diagonale, centre des arts et des fibres du Québec, diffuse le travail des artistes en arts visuels dont la pratique se démarque par l’utilisation des techniques ou concepts relevant du domaine des arts de la fibre.
Les installations qui forment l’exposition Domestications se présentent comme des interrogations sur un petit ensemble de sujets et de matières.
Déjà, la représentation du réel en art est un sujet vaste, une infime portion est ici mise à l’épreuve. La vraisemblance est tout à fait abandonnée afin de laisser toute la place à l’improbable. Et cette chimère atteint un but qui est du domaine de l’inconscient ou du moins de la patrie du rêvé et alors, peut-être, du poétique.
Le paysage et les animaux constituent les motifs avec lesquels chacune des pièces recrée une sorte de nouvelle réalité. À l’aide de matériaux inaccoutumés, ou du moins qui ne constituent pas la matière de l’art noble, chacune des installations est en quelque sorte bricolée.
L’espace sonore comme une émulsion vient lier le visiteur à l’oeuvre afin d’ajouter un sens à la participation visuelle. Insinuations, commentaires et même narrations, le son est indissociable de la chose concrète. La nature a-t-elle vraiment besoin de moi? Leçon de chant, Picsous et le réel, Échantillons de ciel; quatre pièces qui domestiquent une représentation mentale en l’apprivoisant, en l’asservissant, en la transformant, en la simulant, en la recréant, en la rêvant… pour réfléchir
Diane Dubeau, artiste nouvellement qualifiée de visuelle, a eu une pratique théâtrale pendant plusieurs années. Metteure en scène, comédienne, directrice, le théâtre Espace Libre était à l’époque son port d’attache. Bachelière en arts visuels, fraîchement émoulue de Concordia, elle se consacre désormais exclusivement à son inclination.
Déjà, elle faisait des incursions marquantes du côté des arts visuels. D’abord en compagnie de Pierre Granche pour la performance-installation, Une louve, un instant, dans les marguerites, 1988. Puis chez Skol, Gravité, 1991, avec Manon Labrecque. Ont suivies les installations Un regard sonore, Cruauté et Le reflet est plus somptueux que le réel.
Diagonale, centre des arts et des fibres du Québec, diffuse le travail des artistes en arts visuels dont la pratique se démarque par l’utilisation des techniques ou concepts relevant du domaine des arts de la fibre.
5455, avenue de Gaspé, espace 110,
Montréal (Québec) H2T 3B3