Sous un éclairage éclatant et cru, on retrouve l’œuvre de Divya Mehra, texte en vinyle blanc, posé sur les murs blancs de la galerie. Elle habite l’idée de blancheur comme la norme. Le spectateur doit regarder attentivement et avec détermination pour y lire son message. Le travail contribue à un discours critique sur la race, l’ethnicité et le colonialisme et y prête l’espace pour ces spécificités et nuances.
En ce moment, son vécu lui sert de matériel pour sa production artistique. Elle politise consciemment sa situation en parlant en tant qu’« Autre ». Divya Mehra se sert de son expérience comme mesure des relations raciales dans un contexte plus large. L’observateur est invité à voir les choses à sa façon, à travers une lentille où les tensions sont fortes sur les plans interpersonnel et interculturel.
Il y a un composant provocateur dans son travail, une artiste prête à combattre qui capte intuitivement et rapporte ce qu’elle voit et entend. Dans un sens, son travail invoque le caractère de l’escroc qui secoue les choses avec son humour, parfois surprenant, parfois absurde. L’humeur est donc un moyen d’attirer les spectateurs dans un discours alors qu’elle s’attaque à la race liée à la haine, le silence et l’invisibilité.
Causerie d’artiste : le jeudi 9 février à 19 h 30 – Entrée libre
Sous un éclairage éclatant et cru, on retrouve l’œuvre de Divya Mehra, texte en vinyle blanc, posé sur les murs blancs de la galerie. Elle habite l’idée de blancheur comme la norme. Le spectateur doit regarder attentivement et avec détermination pour y lire son message. Le travail contribue à un discours critique sur la race, l’ethnicité et le colonialisme et y prête l’espace pour ces spécificités et nuances.
En ce moment, son vécu lui sert de matériel pour sa production artistique. Elle politise consciemment sa situation en parlant en tant qu’« Autre ». Divya Mehra se sert de son expérience comme mesure des relations raciales dans un contexte plus large. L’observateur est invité à voir les choses à sa façon, à travers une lentille où les tensions sont fortes sur les plans interpersonnel et interculturel.
Il y a un composant provocateur dans son travail, une artiste prête à combattre qui capte intuitivement et rapporte ce qu’elle voit et entend. Dans un sens, son travail invoque le caractère de l’escroc qui secoue les choses avec son humour, parfois surprenant, parfois absurde. L’humeur est donc un moyen d’attirer les spectateurs dans un discours alors qu’elle s’attaque à la race liée à la haine, le silence et l’invisibilité.
Causerie d’artiste : le jeudi 9 février à 19 h 30 – Entrée libre