Florence Le Blanc prend pour sujets des meubles ou des parties architecturales abîmés par l’usure du temps ou la négligence. Elle photographie ces éléments dans le détail, en se rapprochant le plus possible de leur échelle réelle. Une fois les photographies imprimées, elle les utilise comme des matériaux pour reconstruire ses sujets en les assemblant morceau par morceau. Elle travaille ses images comme des bricolages, en corrigeant artisanalement leurs di érences de perspective. Entre la tentative d’une reproduction « parfaite » du sujet et son résultat inévitablement décalé naît une tension qu’elle exploite comme un outil de distorsion de la réalité. Isolé de son ancien contexte, le sujet joue un nouveau rôle spatial. Sublimé par cette représentation « défaillante », il prend alors un sens poétique.
Vendredi le 26 août à 17h, l’artiste tiendra une conférence sur sa démarche artistique. Elle y présentera aussi son oeuvre photographique intitulée L’OEil de l’épave, qu’elle a réalisée à Carleton-sur-Mer dans le cadre des Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie et installée à la Brûlerie du Quai du 5 août au 12 septembre 2011. Cette conférence agrémentée d’une projection d’images sera immédiatement suivie du vernissage de l’exposition Dissidence mobilière.
Née en 1982, Florence Le Blanc est titulaire d’un baccalauréat en arts plastiques à l’Université Laval (2004), et d’une maîtrise en muséologie à l’Université du Québec à Montréal (2007). Elle est, depuis 2009, coordonnatrice des Éditions J’ai VU à Québec. En 2011, elle présentait ses oeuvres photographiques au Brésil dans le cadre de l’événement Québec – São Paulo organisé par Le Lieu.
L’exposition est ouverte au public du mardi au samedi de 13h à 16h et les jeudi et vendredi de 18h à 20h. Entrée libre.
L’OEil de l’épave, oeuvre photographique installée à la Brûlerie du Quai (200 route du Quai) en partenariat avec les Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie est présenté jusqu’au 12 septembre.
Florence Le Blanc prend pour sujets des meubles ou des parties architecturales abîmés par l’usure du temps ou la négligence. Elle photographie ces éléments dans le détail, en se rapprochant le plus possible de leur échelle réelle. Une fois les photographies imprimées, elle les utilise comme des matériaux pour reconstruire ses sujets en les assemblant morceau par morceau. Elle travaille ses images comme des bricolages, en corrigeant artisanalement leurs di érences de perspective. Entre la tentative d’une reproduction « parfaite » du sujet et son résultat inévitablement décalé naît une tension qu’elle exploite comme un outil de distorsion de la réalité. Isolé de son ancien contexte, le sujet joue un nouveau rôle spatial. Sublimé par cette représentation « défaillante », il prend alors un sens poétique.
Vendredi le 26 août à 17h, l’artiste tiendra une conférence sur sa démarche artistique. Elle y présentera aussi son oeuvre photographique intitulée L’OEil de l’épave, qu’elle a réalisée à Carleton-sur-Mer dans le cadre des Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie et installée à la Brûlerie du Quai du 5 août au 12 septembre 2011. Cette conférence agrémentée d’une projection d’images sera immédiatement suivie du vernissage de l’exposition Dissidence mobilière.
Née en 1982, Florence Le Blanc est titulaire d’un baccalauréat en arts plastiques à l’Université Laval (2004), et d’une maîtrise en muséologie à l’Université du Québec à Montréal (2007). Elle est, depuis 2009, coordonnatrice des Éditions J’ai VU à Québec. En 2011, elle présentait ses oeuvres photographiques au Brésil dans le cadre de l’événement Québec – São Paulo organisé par Le Lieu.
L’exposition est ouverte au public du mardi au samedi de 13h à 16h et les jeudi et vendredi de 18h à 20h. Entrée libre.
L’OEil de l’épave, oeuvre photographique installée à la Brûlerie du Quai (200 route du Quai) en partenariat avec les Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie est présenté jusqu’au 12 septembre.
Carleton-sur-Mer (Québec) G0C 1J0