Déclic 70, dont le commissariat a été assuré par Nicolas Mavrikakis, réunit onze photographes ainsi que leurs photographies documentaires.
Artistes : Claire Beaugrand-Champagne, Marik Boudreau, Michel Campeau, Alain Chagnon, Roger Charbonneau, Pierre Gaudard, Clara Gutsche, Jean Lauzon, David Miller, Normand Rajotte et Gabor Szilasi.
une exposition itinérante présentée par le Conseil des arts de Montréal en tournée conçue et réalisée par ART SOUTERRAIN
Bien que la fin de la peinture ait plusieurs fois été proclamée par le passé, cette dernière a dominé l’histoire de l’art de la Renaissance jusqu’au milieu du XXe siècle, en particulier au Québec. Les Automatistes et les Plasticiens ont d’ailleurs jeté l’ombre sur une époque maintenant considérée comme étant très importante en photographie. En effet, la photographie a joué un rôle culturel majeur au Québec dans les années 1970. Les photographes, œuvrant alors souvent au sein de collectifs, se sont mis à capturer la vie sociale, créant des documents visuels précieux de cette période significative.
La Galerie d’art Stewart Hall est heureuse de présenter Déclic 70, dont le commissariat a été assuré par Nicolas Mavrikakis, et qui a été organisée par ART SOUTERRAIN en conjonction avec le Conseil des arts de Montréal en tournée. Cette exposition réunit onze photographes ainsi que leurs photographies documentaires, réalisées entre la fin des années 50 et la fin des années 70 – Pierre Gaudard, Gabor Szilasi, Claire Beaugrand-Champagne, Roger Charbonneau, Michel Campeau (impliqués dans le GAP – Groupe d’Action Photographique); Jean Lauzon et Normand Rajotte (du groupe Prisme); Clara Gutsche et David Miller (du collectif Photocell); Marik Boudreau (de Plessisgraphe) et Alain Chagnon (du GPP – Groupe des Photographes Populaires).
Plus qu’un simple voyage dans le temps, cette exposition tient en main les racines de notre identité collective et offre une occasion de réfléchir sur le passé avec un nouveau regard. La société québécoise a été en constante évolution depuis la Révolution tranquille. Maintenant plus que jamais, la photographie est devenue un instrument de prise de conscience, laissant des traces et des signes annonciateurs du futur.
Déclic 70, dont le commissariat a été assuré par Nicolas Mavrikakis, réunit onze photographes ainsi que leurs photographies documentaires.
Artistes : Claire Beaugrand-Champagne, Marik Boudreau, Michel Campeau, Alain Chagnon, Roger Charbonneau, Pierre Gaudard, Clara Gutsche, Jean Lauzon, David Miller, Normand Rajotte et Gabor Szilasi.
une exposition itinérante présentée par le Conseil des arts de Montréal en tournée conçue et réalisée par ART SOUTERRAIN
Bien que la fin de la peinture ait plusieurs fois été proclamée par le passé, cette dernière a dominé l’histoire de l’art de la Renaissance jusqu’au milieu du XXe siècle, en particulier au Québec. Les Automatistes et les Plasticiens ont d’ailleurs jeté l’ombre sur une époque maintenant considérée comme étant très importante en photographie. En effet, la photographie a joué un rôle culturel majeur au Québec dans les années 1970. Les photographes, œuvrant alors souvent au sein de collectifs, se sont mis à capturer la vie sociale, créant des documents visuels précieux de cette période significative.
La Galerie d’art Stewart Hall est heureuse de présenter Déclic 70, dont le commissariat a été assuré par Nicolas Mavrikakis, et qui a été organisée par ART SOUTERRAIN en conjonction avec le Conseil des arts de Montréal en tournée. Cette exposition réunit onze photographes ainsi que leurs photographies documentaires, réalisées entre la fin des années 50 et la fin des années 70 – Pierre Gaudard, Gabor Szilasi, Claire Beaugrand-Champagne, Roger Charbonneau, Michel Campeau (impliqués dans le GAP – Groupe d’Action Photographique); Jean Lauzon et Normand Rajotte (du groupe Prisme); Clara Gutsche et David Miller (du collectif Photocell); Marik Boudreau (de Plessisgraphe) et Alain Chagnon (du GPP – Groupe des Photographes Populaires).
Plus qu’un simple voyage dans le temps, cette exposition tient en main les racines de notre identité collective et offre une occasion de réfléchir sur le passé avec un nouveau regard. La société québécoise a été en constante évolution depuis la Révolution tranquille. Maintenant plus que jamais, la photographie est devenue un instrument de prise de conscience, laissant des traces et des signes annonciateurs du futur.