Dans ce nouveau corpus, Girard renoue avec une recherche sculpturale initiée il y a 12 ans, revisitant une technique inédite utilisant la résine époxy comme matière première. Cette exposition met en résonance peinture et sculpture, obéissant aux mêmes principes créatifs. Les outils et le médium diffèrent, mais la relation entre contrôle et accident demeure.
Les œuvres de Girard invitent le spectateur à entrer en contact avec son univers où une multitude de possibilités, de formes et de structures s’ouvrent, se referment, se répètent, se multiplient et se déconstruisent. Oscillant entre le clair et l’obscur, il nous présente des compositions qui malgré la régularité des formes et les éléments de symétrie nous semblent parfois chaotiques. Il nous laisse ainsi dans l’intrigue face à cet équilibre harmonieux entre ce qui émane du contrôle et ce qui découle de l’exploration.
Dans ce nouveau corpus, Girard renoue avec une recherche sculpturale initiée il y a 12 ans, revisitant une technique inédite utilisant la résine époxy comme matière première. Cette exposition met en résonance peinture et sculpture, obéissant aux mêmes principes créatifs. Les outils et le médium diffèrent, mais la relation entre contrôle et accident demeure.
Les œuvres de Girard invitent le spectateur à entrer en contact avec son univers où une multitude de possibilités, de formes et de structures s’ouvrent, se referment, se répètent, se multiplient et se déconstruisent. Oscillant entre le clair et l’obscur, il nous présente des compositions qui malgré la régularité des formes et les éléments de symétrie nous semblent parfois chaotiques. Il nous laisse ainsi dans l’intrigue face à cet équilibre harmonieux entre ce qui émane du contrôle et ce qui découle de l’exploration.