La plupart des industries culturelles ont enregistré une augmentation importante de leur nombre d’emplois salariés entre 1991 et 2010. Ce nombre a augmenté de 312 % dans l’industrie de la télévision payante et spécialisée, de 134 % dans les compagnies d’art d’interprétation (théâtre, musique, chanson, etc.) et de 89 % dans les établissements du patrimoine. C’est ce que révèle l’étude publiée aujourd’hui par l’Observatoire de la culture et des communications du Québec (OCCQ) de l’Institut de la statistique du Québec.
Au cours de la même période, les industries culturelles qui comptent le plus grand nombre d’emplois salariés, soit la radio et la télévision généraliste et l’édition de livres, journaux et périodiques, enregistrent les plus fortes contractions de leur main-d’œuvre salariée. L’industrie de la radio et la télévision généraliste a perdu 20 % de ses emplois salariés et celle de l’édition 10 %.
Cette croissance de l’emploi salarié dans les industries culturelles se caractérise par un rythme supérieur à celui de l’ensemble des industries au cours de la première décennie, suivie par un net ralentissement. En effet, l’emploi salarié dans les principales industries culturelles du Québec affiche un taux de croissance annuel moyen de 1,6 % entre 1991 et 2002 et de – 0,5 % entre 2002 et 2010. Au cours des mêmes périodes, dans l’ensemble des industries, le nombre d’emplois salariés a crû annuellement de 1,0 % et 1,5 %.
Par rapport à celles de l’Ontario, les principales industries culturelles québécoises font bonne figure avec un taux de croissance annuel moyen de l’emploi salarié de 0,7 %, par rapport à 0,2 % en Ontario entre 1991 et 2010. De plus, la part de la main-d’œuvre salariée des industries culturelles dans l’ensemble des emplois salariés au Québec est passée de 1,5 % en 1991 à 1,4 % en 2010, tandis qu’en Ontario, cette part est passée de 1,6 % à 1,3 %.
Les renseignements proviennent de la publication Optique culture no 12 que l’on peut consulter sur le site Web de l’Observatoire de la culture et des communications du Québec.
La plupart des industries culturelles ont enregistré une augmentation importante de leur nombre d’emplois salariés entre 1991 et 2010. Ce nombre a augmenté de 312 % dans l’industrie de la télévision payante et spécialisée, de 134 % dans les compagnies d’art d’interprétation (théâtre, musique, chanson, etc.) et de 89 % dans les établissements du patrimoine. C’est ce que révèle l’étude publiée aujourd’hui par l’Observatoire de la culture et des communications du Québec (OCCQ) de l’Institut de la statistique du Québec.
Au cours de la même période, les industries culturelles qui comptent le plus grand nombre d’emplois salariés, soit la radio et la télévision généraliste et l’édition de livres, journaux et périodiques, enregistrent les plus fortes contractions de leur main-d’œuvre salariée. L’industrie de la radio et la télévision généraliste a perdu 20 % de ses emplois salariés et celle de l’édition 10 %.
Cette croissance de l’emploi salarié dans les industries culturelles se caractérise par un rythme supérieur à celui de l’ensemble des industries au cours de la première décennie, suivie par un net ralentissement. En effet, l’emploi salarié dans les principales industries culturelles du Québec affiche un taux de croissance annuel moyen de 1,6 % entre 1991 et 2002 et de – 0,5 % entre 2002 et 2010. Au cours des mêmes périodes, dans l’ensemble des industries, le nombre d’emplois salariés a crû annuellement de 1,0 % et 1,5 %.
Par rapport à celles de l’Ontario, les principales industries culturelles québécoises font bonne figure avec un taux de croissance annuel moyen de l’emploi salarié de 0,7 %, par rapport à 0,2 % en Ontario entre 1991 et 2010. De plus, la part de la main-d’œuvre salariée des industries culturelles dans l’ensemble des emplois salariés au Québec est passée de 1,5 % en 1991 à 1,4 % en 2010, tandis qu’en Ontario, cette part est passée de 1,6 % à 1,3 %.
Les renseignements proviennent de la publication Optique culture no 12 que l’on peut consulter sur le site Web de l’Observatoire de la culture et des communications du Québec.