L’été 2013 marque une étape majeure pour le développement international du GRAVE grâce à une entente historique d’échanges artistiques récurrents avec le CRANE lab en France. Le CRANE lab est un centre d’artistes autogéré qui agit comme pôle de recherche en art, en éthique de l’art et sa régénération, une vision artistique qui entre directement en résonnance avec la mission d’avenir du GRAVE. À l’été 2013, donc, le CRANE lab accueillait en résidence huit (8) membres du GRAVE qui ont déployé leurs créations sur différentes places publiques et différentes villes de la Bourgogne ;
http://www.scoop.it/t/crane
Afin de concrétiser ce véritable échange artistique, le GRAVE accueille trois artistes du CRANE lab ;
SP38, « street artist » est invité à investir l’espace public pour “recycler les murs, les vieilles pierres, les portes pourries, les vitrines sales, les cris d’effrois, les plaintes et commentaires réactionnaires et aussi de s’auto recycler et de réutiliser ses propres œuvres pour en fabriquer de nouvelles. Et le public ? À recycler ! “
À l’origine, Bernard François est photographe de spectacle, il se spécialise dans la danse contemporaine et la performance. Dès 1991, il devient photographe pigiste pour des publications de prestige ; L’Express, France Soir, Femme d’Aujourd’hui, High Performance (USA), Kulthur (Allemagne), Performance (Angleterre), etc. À Victoriaville, nous aurons accès à son travail plus personnel qu’il réalise depuis 1996 : nouvelles photographies, œuvres numériques et installation.
Étroitement lié à son enfance, à la « pêche à pied » qu’il pratiquait sur le bord de mer à Brest, Jérôme Durand propose la figure du crabe comme l’une de ses sources d’inspiration. Pour le Grave, une installation présentera une centaine de crabes faits d’acier recyclé sortis du St-Laurent et venus se réfugier dans l’aire d’exposition…
P.S. Le Grave tient à remercier le Mouvement Essarts pour l’aide apportée à la réalisation des sculptures d’acier de Jérôme Durand.
Afin de concrétiser ce véritable échange artistique, le GRAVE accueille trois artistes du CRANE lab ;
SP38, « street artist » est invité à investir l’espace public pour “recycler les murs, les vieilles pierres, les portes pourries, les vitrines sales, les cris d’effrois, les plaintes et commentaires réactionnaires et aussi de s’auto recycler et de réutiliser ses propres œuvres pour en fabriquer de nouvelles. Et le public ? À recycler ! “
À l’origine, Bernard François est photographe de spectacle, il se spécialise dans la danse contemporaine et la performance. Dès 1991, il devient photographe pigiste pour des publications de prestige ; L’Express, France Soir, Femme d’Aujourd’hui, High Performance (USA), Kulthur (Allemagne), Performance (Angleterre), etc. À Victoriaville, nous aurons accès à son travail plus personnel qu’il réalise depuis 1996 : nouvelles photographies, œuvres numériques et installation.
Étroitement lié à son enfance, à la « pêche à pied » qu’il pratiquait sur le bord de mer à Brest, Jérôme Durand propose la figure du crabe comme l’une de ses sources d’inspiration. Pour le Grave, une installation présentera une centaine de crabes faits d’acier recyclé sortis du St-Laurent et venus se réfugier dans l’aire d’exposition…
P.S. Le Grave tient à remercier le Mouvement Essarts pour l’aide apportée à la réalisation des sculptures d’acier de Jérôme Durand.