La Galerie d’art Stewart Hall est heureuse de présenter l’exposition Conversations : Claude Millette et David Newkirk, où les sculptures récentes de Claude Millette interagissent avec les peintures abstraites de David Newkirk, initiant ainsi un dialogue avec le visiteur.
Claude Millette maîtrise le métal au point où ses sculptures semblent défier les lois de la gravité. L’aplomb suggéré par la froidure de l’acier, par le poids et par la taille imposante des volumes, répond aux trames de fond ordonnées et appliquées dont Newkirk use dans son œuvre depuis 2008. Mais de même que le peintre déjoue celles-ci par des coups de pinceau expressifs, dans une gestuelle à laquelle le choix du grand format laisse libre cours, la pureté des lignes et la légèreté du mouvement insufflent aux sculptures un sentiment de vulnérabilité. Dans une verve énergique et efficace, les courbes en déséquilibre de ces sculptures apostrophent les compositions plus complexes des peintures qui rétorquent d’un argumentaire coloré, tant méthodique qu’intuitif.
VERNISSAGE ET PERFORMANCE : Dimanche 6 décembre, 14 h
Trois danseuses de L’Espace du mouvement – Adeline Gendron, Coralie Muronie et Catherine Wilson – prolongent les conversations par une
performance de danse improvisée.
La Galerie d’art Stewart Hall est heureuse de présenter l’exposition Conversations : Claude Millette et David Newkirk, où les sculptures récentes de Claude Millette interagissent avec les peintures abstraites de David Newkirk, initiant ainsi un dialogue avec le visiteur.
Claude Millette maîtrise le métal au point où ses sculptures semblent défier les lois de la gravité. L’aplomb suggéré par la froidure de l’acier, par le poids et par la taille imposante des volumes, répond aux trames de fond ordonnées et appliquées dont Newkirk use dans son œuvre depuis 2008. Mais de même que le peintre déjoue celles-ci par des coups de pinceau expressifs, dans une gestuelle à laquelle le choix du grand format laisse libre cours, la pureté des lignes et la légèreté du mouvement insufflent aux sculptures un sentiment de vulnérabilité. Dans une verve énergique et efficace, les courbes en déséquilibre de ces sculptures apostrophent les compositions plus complexes des peintures qui rétorquent d’un argumentaire coloré, tant méthodique qu’intuitif.
VERNISSAGE ET PERFORMANCE : Dimanche 6 décembre, 14 h
Trois danseuses de L’Espace du mouvement – Adeline Gendron, Coralie Muronie et Catherine Wilson – prolongent les conversations par une
performance de danse improvisée.