Texte principal
- Bonin, Vincent, Here, Bad News Always Arrives Too Late.
Textes complémentaires
- Agamben, Giorgio. Qu’est ce qu’un dispositif?, Éditions Rivages, Paris, 2007, 64 p.
- Deneault, Alain. Gouvernance : le management totalitaire, Lux éditeur, Montréal, 2013, 200p.
- Frémeaux, Isabelle et Jordan, John. Les sentiers de l’utopie , Éditions La découverte, Paris, 2012, 387p.
- [En ligne] Wright, Eric Olin. Envisioning Real Utopias, Verso Books, 2010, 416p.
- Roy, Arundati. Capitalism: A Ghost Story, Haymarket Books, New York/London, 2014, 128p.
- Borgen, Maibritt, The Inner and Other Form of Self-Organization dans Self-Organized : Occasional Table, Hordaland Arts Centre, London, 2013, 168p.
- [En ligne] Blog de cheyanne turions / post: « mutual becomings »
Au fond du parc Rosaire-Gauthier, au bord de l’eau
(voir le plan)
Les textes choisis et présentés par Amber Berson, Edith Brunette, Charlotte Panaccio-Letendre et Pablo Rodriguez pendant le Club de lecture permettent d’aborder l’autogestion selon différentes perspectives. Le texte Ici, les mauvaises nouvelles nous parviennent toujours trop tard : la critique des institutions au Canada (1967 – 2012) de Vincent Bonin (2012), agit comme le point de départ d’une réflexion plus étendue sur l’autogestion. Aujourd’hui quelque peu délaissée, cette notion est étroitement liée à l’essor des centres d’artistes ainsi qu’à leurs modèles de gestion et de financement. Comment s’insère-t-elle dans l’histoire du milieu des arts visuels au Québec et au Canada? Comment, surtout, peut-elle nous aider à poser un regard critique sur ce que sont devenus ces centres, et ce qu’on peut en espérer pour l’avenir? L’autogestion n’est-elle qu’une pratique administrative, aujourd’hui alourdie par des principes de « bonne gouvernance », ou peut-elle réintroduire de la joie, voire un peu d’utopie, dans nos domaines artistiques?
La présentation se fera en français et en anglais.
La liste de lecture du collectif
Les textes sont disponibles à la Librairie Formats, partenaire de l’activité.
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Au fond du parc Rosaire-Gauthier, au bord de l’eau
(voir le plan)
Les textes choisis et présentés par Amber Berson, Edith Brunette, Charlotte Panaccio-Letendre et Pablo Rodriguez pendant le Club de lecture permettent d’aborder l’autogestion selon différentes perspectives. Le texte Ici, les mauvaises nouvelles nous parviennent toujours trop tard : la critique des institutions au Canada (1967 – 2012) de Vincent Bonin (2012), agit comme le point de départ d’une réflexion plus étendue sur l’autogestion. Aujourd’hui quelque peu délaissée, cette notion est étroitement liée à l’essor des centres d’artistes ainsi qu’à leurs modèles de gestion et de financement. Comment s’insère-t-elle dans l’histoire du milieu des arts visuels au Québec et au Canada? Comment, surtout, peut-elle nous aider à poser un regard critique sur ce que sont devenus ces centres, et ce qu’on peut en espérer pour l’avenir? L’autogestion n’est-elle qu’une pratique administrative, aujourd’hui alourdie par des principes de « bonne gouvernance », ou peut-elle réintroduire de la joie, voire un peu d’utopie, dans nos domaines artistiques?
La présentation se fera en français et en anglais.
La liste de lecture du collectif
Les textes sont disponibles à la Librairie Formats, partenaire de l’activité.
Laval (Québec) H7N 2W6